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En son temps, la musique du collectif mené par Shoji Yamashiro pour le chef d’œuvre de Katsuhiro Otomo révolutionnait une certaine approche du genre au pays de l’anime. Trente ans plus tard, les expérimentations ethnico-chorales n’ont rien perdu de leur force et de l’impact incroyables qu’elles produisent à l’image. Une oeuvre unique.
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La découverte de la musique d’Akira reste une expérience rare, sinon unique dans la vie d’un cinémélomane, et demeure incomparable. Une odyssée incroyable, allant du rock progressif au nô, déjouant tous les clichés de la SF cyberpunk, portée de bout en bout par une audace et une singularité créative relevant du génie.
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Chef d’œuvre musical que tout le monde connait. Oui, sauf que Milan nous offre pour une fois, en CD et en vinyle, une superbe remasterisation d’une qualité d’écoute formidable. Pour le coup ceux qui ne l’ont pas devraient foncer. Et les autres, bah pareil.
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Je ne sais même pas pourquoi j’écris ce commentaire. Ceux parmi vous qui connaissent cet Akira l’ont forcément. Tous les autres sont des ringards. Détendez-vous, je plaisante. Ou pas.
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Difficile de porter un regard objectif quand on a vu le film plus de cinq fois au cinéma. Un score complètement « autre » mêlant chœurs mystiques, percussions apocalyptique et électro-rock aux couleurs de néons. Ceux qui connaissent pas, attendez-vous à de l’étrange, du sauvage, de l’hypnotique et du poétique.
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