Serpent (Le) (Ennio Morricone )

UnderScorama • Publié le 15/10/2016 par

Le SerpentLE SERPENT (1973)
Compositeur : Ennio Morricone
Éditeur : Music Box Records
Format : CD
Date de sortie : 16/09/2016

3.5 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Au-delà du mélancolique thème principal, qui revient assez peu, Morricone fait feu de tout bois : chant psychédélico-démoniaque, easy listening, marches militaires, orgue d’église et surtout des tonnes de musique atonale abstraite comme il aime tant à en écrire. L’album, très rempli, manque d’unité et semble très long, même si ça reste du pur Morricone.
3.5 out of 5 stars
Florent Groult Voilà un concentré de Morricone comme on l’aime, où se côtoient notamment un chant lyrique typique porté par la voix d’Edda dell’Orso, un titre délicieusement psychédélique, un thème d’amour à la sensibilité irrésistible et des plages d’un genre de froid suspense, sonore et expérimental. Fascinant objet agrémenté ici de nombreuses variations.
5 out of 5 stars
Olivier Galliano Cet opus de Morricone part littéralement dans tous les sens. Du typiquement Morriconnien, du rock goblinesque, de l’orgue d’église, des fanfares militaires, des morceaux expérimentaux… Tout est plutôt très bien, mais l’ensemble ne s’harmonise que difficilement. Dommage.
2.5 out of 5 stars
Christophe Maniez Orgue, voix solo d’Edda dell’Orso, chœur, cordes expressives, flute traversière, basse électrique, bref, tout l’attirail du Maestro est présent dans cette étonnante partition, qui tutoie par instants un lyrisme absolument délectable mais cultive aussi le mystère grinçant dans de (hélas trop) nombreux morceaux à l’atmosphère plus expérimentale.
3 out of 5 stars
Stéphanie Personne Henri Verneuil et Ennio Morriconne ? Normalement, je devrais sauter au plafond. Mais le score ne m’a pas bluffée : même si la patte du maitre est bien là, et que l’approche dissonante est intéressante, je trouve que l’ensemble part un peu dans tous les sens.
En écoute isolée, ce n’est pas très satisfaisant…
2.5 out of 5 stars