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Les zombies sont partout, c’est la mode qui veut ça. Cette fois, ils tentent d’émuler le style de John Carpenter, ça aussi, c’est à la mode. En vain, bien entendu : n’est pas JC qui veut, surtout quand la compétition compte déjà un talentueux successeur, Robin Coudert. A éviter donc, si on ne veut pas se faire dévorer le cerveau.
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A part une ou deux idées par-ci par-là, le groupe Zombie Zombie voudrait bien faire comme Carpenter, mais ils ne sont ni Rob ni Big John (ni Shore sur Naked Lunch) et du coup se ratent à peu près partout. La seconde écoute n’a en rien aidé, au contraire, j’ai dû étrangler une banane et une pêche. PS: demain je repasse chez le primeur.
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Partition électro-pop rétro fort appréciable (l’influence de Carpenter est évidente, mais il y en a plein d’autres). Si le travail de Zombie Zombie vous est familier, vous apprécierez sans doute cet album où chaque piste développe idées et atmosphères particulières. L’album promet des réécoutes nombreuses, tard la nuit, dans une maison vide…
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Irréprochable ? Ben là, c’est compliqué, hein… N’est pas Carpenter qui veut. Il y en a encore qui pensent qu’une musique synthé doit se contenter d’être répétitive pour être impactante… Non les gars, quand c’est pourri, c’est pourri. Où sont mes Doliprane ?
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