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Les sections les plus épiques de la partition pour orchestre et chœur de ce nouvel opus signé Sid Meier ne manquent pas d’attrait, mais l’ambiance souvent new age et la durée tout à fait excessive de l’album nuisent au plaisir d’écoute, qui aurait été bien plus intense avec une sélection des morceaux plus rigoureuse.  |
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Suites de progressions (sonores, rythmiques, mélodiques) emphatiques pour exalter les mystères, le sens de l’aventure et de la découverte de diverses immensités, et ainsi élargir le cadre étroit de l’écran vidéo-ludique. On aurait pu se passer des ambiances synthé vieillottes. Un peu répétitif, mais les compositeurs honorent leur contrat.  |
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Certains compositeurs pour l’image devraient en prendre de la graine : les scores de jeux vidéo sont souvent étonnants. C’est le cas ici avec de vraies belles envolées symphoniques, des thèmes, des enjeux musicaux, enfin bref, du plaisir d’écoute.  |
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Je dois avouer que ça partait un peu mal au début. Zut, encore ces sempiternels ostinati… Et puis la musique défile, confiante, ample, exaltante, aquatique, avec un thème prenant (dont les notes rappellent un peu Assassin’s Creed II). Et les pistes de Kirkhope sont juste énormes. Puissant !  |