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Une partition d’aventures enfantines aux fréquents accents de western. La thématique, émouvante, et les orchestrations aux petits oignons pourraient presque nous faire croire à la découverte d’un inédit de Basil Poledouris. Sensationnel ! |
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Partition d’aventure couleur banjo, « à l’ancienne » selon l’expression consacrée, menée avec beaucoup d’entrain et respirant l’amour du travail bien fait, sans pourtant jamais étinceler plus que cela. Sympathique mais un brin frustrant, du coup. |
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Tooom Saaaawyer, c’est l’amériqueuh ! Hum… Ce que Gulya perd en originalité, il le gagne en générosité. Ne vous fiez pas à sa pochette mochi-moche, il s’agit d’une bien bonne galette à ne pas rater. |
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Surprise number two! Un thème principal à l’image de l’ensemble de la partition : frais, enlevé, où l’enfance et ses rêves d’aventures surgissent au détour de chaque note. |
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Yeeha ! J’ai passé un mois à siffloter le formidable thème principal. Partoche d’aventure pétulante, un peu western, ses couleurs évoquent Poledouris avec vivacité. Seul bémol, des concessions minimes à la mode RC (zut !). |
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Cette énième relecture des aventures de Tom Sawyer bénéficie d’un chouette score orchestral et choral (enregistré à Bratislava), aux accents d’aventures et de western. MSM, qui a souvent tendance à se faire plus gros que le bœuf, marque des points. |