 |
Si Les Feux de la Chandeleur brillent d’un éclat un peu trop mièvre pour embraser l’auditeur, c’est du côté de La Vieille Fille que vient la surprise, entre un clavecin aux sonorités désaccordées, une flûte pastorale et un groove 70’s au sax déchainé.  |
 |
Entre des Feux de la Chandeleur multi-facettes mêlant mélodrame orchestral, jazz et pop et une Vieille Fille aux cheminements instrumentaux intrigants et subtils, c’est la « Legrand’s Touch » qui s’exprime dans ce qu’elle a de meilleur.  |
 |
Deux albums de Legrand pour le prix d’un, déjà, c’est cadeau. Mais quand en plus il s’agit d’un album superbement produit, rempli de mélodies legrandesques reflétant leur époque, on ne réfléchit pas et on achète.  |
 |
Le premier est un drame amoureux au magnifique thème tragique pour cordes et bois. Le second, moins marquant, est un joli numéro d’équilibriste entre doute et insouciance estivale. Y a pas mal de pop, mais c’est Legrand !  |
 |
Deux magnifiques partitions enfin disponibles dans un écrin à la hauteur du talent de notre trésor national, Michel Legrand. Des mélodies accrocheuses, une musique fluide, à la facilité apparente, ce qui en dit long sur le talent du bonhomme. Merveilleux.  |