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He-Man, Heee-Maaan ! Oui, d’accord, le thème est sympa. Mais il y a tellement à boire et à manger en matière de synthé cheap dans les deux heures qui suivent qu’on fait bien vite une indigestion de mauvais goût. Non, la nostalgie n’excuse pas tout, et surtout pas ça !  |
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On peut être comme moi enfant des années 80 et reconnaître que cette bande son terriblement cheap est d’autant plus imbuvable aujourd’hui qu’elle l’était certainement déjà à l’époque : il y a des limites à ce que la nostalgie peut me faire endurer.  |
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Les fans de Musclor vont être en joie. Pour les autres… ça dépend. Si vous aimez les mélodies niaiseuses jouées au Bontempi, pourquoi pas. Sinon gare à l’indigestion au bout d’environ trois pistes. En bonus, le thème en version espagnole…  |
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Le double effet Musclor : au début, ta mémoire auditive te projette dans ton enfance, tes yeux pétillent, presque humides… Puis tous ces beaux souvenirs s’évaporent quand tu te rends compte que ce n’est juste pas écoutable sur toute la durée.  |
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Avertissement : l’abus de kitsch est dangereux. Le thème du héros est très réussi, mais ses variations sont lénifiantes, dommage. Non, la vraie révélation c’est le thème d’Orko ! Sapristi, chaque apparition est génialoïde.  |
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Il faut avoir vécu en 1984 la diffusion des aventures de Musclor dans Récré A2 pour être happé par la nostalgie. Au delà, force est de reconnaître que voilà la superbe édition d’une musique pauvre, et atroce sur le plan esthétique.  |