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Le Rosenman des 70’s usait déjà des mêmes recettes qui l’ont fait connaitre dans les années 80, empilant des clusters dissonants interchangeables avec la finesse d’un bolide lancé à plein régime sur la route de la facilité. Moi, je prendrai le métro, du coup.  |
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Enfer mécanique guidé par le Dies Irae, de secs coups de butoir et des empilements de multiples sections orchestrales (typiques du style Rosenman) oppressants à souhait, le tout menant à un climax d’une densité implacable.  |
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J’aime bien le gars Rosenman. L’air de rien, sa carrière est pleine de petites perles musicales. Du point de vue d’un béophile en tout cas. Enfin bref, cette automobile emporte bien des choses sur son passage, mais pas le talent.  |
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Grosse expérience que cet enfer mécanique dont la musique cultive moult diableries à base de Dies Irae et de cuivres beuglants tels des klaxons sataniques !  |
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Solide partition menaçante et massive, avec le martèlement incessant des cuivres et des percussions. Si l’arrangement du Dies Irae est super, le reste a déjà été entendu cent fois chez Rosenman. Rien de surprenant ici.  |
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Rosenmann utilise le Dies Irae médiéval à tout-va, instaure une ambiance atonale, et balance des séquences d’action assez phénoménales. La musique est rapide et sauvage. Intrada propose l’intégralité des bandes parfaitement conservées.  |