Un album atonal difficile d’accès, qui torture les instruments pour leur faire gémir des dissonances tantôt séduisantes, tantôt trop neutres. Dommage que Gliniak n’ait pas poussé le concept dans ses derniers retranchements.
Une musique nauséeuse, comme surgie des tréfonds d’une âme humaine malade. Hermétique, sinistre, l’expérience du mois, pour public averti seulement.
Ecrit comme une symphonie, ce Palimpsest a quelques sonorités shoriennes plus que bienvenues. Et si tout n’est pas du même niveau, il vous reste un album intéressant à défaut d’être toujours écoutable.
Amateurs d’ambiances glauques, oppressantes comme des présences sinistres dans l’obscurité, vous serez servis ! Ça fait penser à Dead Space en plus spectral, plus classe et plus intello. Exigeant mais prenant.