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Des orchestrations solides, un très beau love theme, mais aussi une sensibilité électro-pop particulièrement anachronique. Fonctionnant mieux en CD qu’à l’image, ce Ladyhawke s’écoute d’abord comme un bon album d’Alan Parsons Project.  |
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L’alliance orchestre et pop réclamée, et plutôt bien mise en œuvre par Powell, est d’abord un choix de réalisateur, audacieux dans ce contexte mais jamais payant in situ. L’écoute isolée peut cependant faire le bonheur de nombre d’enfants des années 80.  |
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Une superbe édition complète, limitée à quelques exemplaires. Si vous aimiez déjà le score de Powell et les arrangements de Parsons, jetez-vous dessus s’il en reste. Ce serait un crime de s’en priver.  |
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Hors du film, c’est mieux. Énergique. Les ornements orchestraux sont soignés. Faut juste se dire que c’est la béo d’un film d’animation Cosmocats de 1984 avec la voix de Totophe Lambert. Zappez les ch(i)ants religieux !  |
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Si le score atteignait les limites de l’insupportable au sein du film, la musique de Powell, avec sa batterie, ses boîtes à rythmes, ses synthés, ses guitares et son orchestre, acquiert un charme suranné qui peut séduire.  |