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SpaceCamp est une partition capable de vous faire retomber en enfance en un clin d’œil, puis de vous mettre la tête dans les étoiles, les yeux brillants, étourdis par tant de merveilles. Vous ne l’avez pas encore ? Mais vous attendez quoi exactement ? |
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Les élans volontaires et gonflés d’optimisme de Williams rappellent clairement ici ses contributions patriotiques et olympiques de l’époque. C’est dire si on y prend un plaisir un peu béat tant tout cela sonne bien. |
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Tout ce qu’a touché Johnny est devenu de l’or, même le plomb de ce film oublié bénéficiant du talent d’un Williams en plein maturité, sûr de son instinct mélodique, et provoquant ici le sense of wonder des meilleurs récits de SF. |
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A une faute de goût près, ce disque rassemble tous les traits de Williams : virtuosité, émotion et cette façon particulière de faire parler les instruments. Il n’y a pas à dire, dès qu’il faut aller dans l’émerveillement, c’est vers lui qu’on se tourne. |
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La réédition bienvenue du score le plus « trekkien » du compositeur de Star Wars. A part la malheureuse et indélébile marque 80’s d’un Training Montage, la partition est magnifique par sa thématique et son approche contemplative. |
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C’est un peu Kiss Kool, cette BO. D’un côté, ça tabasse à la John Williams 90% du temps. Et au milieu de tout ça, on se tape une horrible musique disco limite funk. Heureusement, il n’y en a qu’une. |
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Un Williams mi-figue mi-raisin, la faute à une esthétique synthétique mal fichue rare chez lui, aux accents pop kitsch, même si certains morceaux s’en sortent bien. Tout le monde n’est pas aussi à l’aise avec les synthés que Goldsmith ! |