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Une vraie partition de film noir d’une flamboyance crépusculaire qui évoque le Rozsa de The Asphalt Jungle et amorce brillamment la toute dernière partie de sa carrière pour le cinéma. Magnifique.  |
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Il n’y avait plus guère à l’époque que Rozsa pour faire resurgir à dessein les fantômes de l’Age d’Or hollywoodien. Sans lui, nul doute que le personnage de Fedora n’aurait jamais eu à l’écran cette ensorcelante présence.  |
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Comme si de rien n’était, Rosza nappe Fedora des volutes romantiques incomparables dont il fit sa signature. Particulièrement prenant dans ses mouvements lents, le score est complété par un merveilleux bonus pour les amateurs de guitare.  |
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Riche, grandiose, grandiloquent et d’une qualité d’enregistrement irréprochable. Autant de raisons pour ne surtout pas passer à côté de cette superbe édition.  |
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Fedora déchaîne les passions avec son score-hommage dramatique, ultra romantique, cruel, envoûtant et quasi-hitchcockien. Evidemment à côté, Crisis est beaucoup plus anecdotique.  |
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L’un des tout premiers Varèse Club est enfin réédité, avec un contenu identique. Si on peut vite se lasser de Crisis, entièrement interprété par une seule guitare, on se délecte de Fedora, formidable score de film noir.  |