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Dès la première piste, on est saisi par la beauté du très hornerien thème principal, qui continue de nous ravir jusqu’à la fin de cette partition issue d’une période de grande créativité du compositeur. Si vous aimez Horner, n’hésitez pas une seconde.  |
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La partition évoque autant les fresques que les dessins animés qu’Horner illustrait à l’époque, le folklore africain en sus : c’est dire si cela sonne bien, et beau, mais aussi combien on sait d’avance où l’on met les pie… les oreilles !  |
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Un Main Title qui prend aux tripes, et on se souvient pourquoi Horner a sa place parmi les plus grands. Et c’est comme ça sur les 28 pistes, à quelques répétitions près. PAF la girafe !  |
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Le début des 90’s était encore une période où les scores de Horner tutoyaient une rage intermittente mais salvatrice. Presque mûr et toujours frondeur, il tend ici vers une beauté sauvage saisissante qui prend tout son sens dans cette nouvelle édition.  |
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De l’action en Afrique, et là tout de suite, Horner te sort l’artillerie lourde, enfin, comme d’habitude. Un pur score 90’s qui ne manque pas de charme, mais peut-être un peu d’originalité (rires).  |
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Cette merveilleuse musique connaît une seconde naissance avec cette version plus longue de 30 minutes. Tantôt épique, tantôt intime, balançant de sérieux passages d’action, voici un Horner d’une grande beauté.  |