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Une des partitions-phare de Revell, énergique et puissante, souvent inventive dans sa manière de mêler grand orchestre et électronique, et qui prouve qu’expérimentation n’est pas forcément antinomique de plaisir d’écoute. Un vrai travail de titan !  |
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À des élans attendus de space opera, Revell mêle une approche multiculturelle singulière, percutante, dont la pertinence l’impose en pure valeur ajoutée sur le récit et les images de Don Bluth. Une redécouverte de taille, carrément !  |
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Ça percute et ça orientalise, dans le futur, chez Revell, mais ça ne fait pas pour autant tellement d’étincelles : le compositeur fera mieux sur The Chronicles Of Riddick.  |
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Un album un peu plus généreux que d’habitude pour Revell, mais qui ne parvient jamais à vraiment décoller. Le côté électro a vraiment pris un coup de vieux. M’enfin je ne peux pas mettre en dessous. Non, pas possible.  |
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Le space opera façon Revell, ce n’est pas forcément ce à quoi on peut attendre d’un autre compositeur à la formation classique. Déjà brouillon et éparpillé à l’époque, ce score ne se bonifie pas avec les années. N’empêche, que de souvenirs !  |
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Il y a une bonne quinzaine d’année, j’écoutais encore du Graeme Revell. Je l’avoue bien volontiers. C’était sympa quand même. Mais bon, ça a pris un coup de vieux, surtout que ça n’a jamais été très poussé en termes d’écriture. Nostalgie ?  |
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On aurait pu craindre des interruptions du fait de la présence de chansons dans le film, mais l’écoute seule s’avère très satisfaisante. Parfois bruitiste, souvent éclectique, ce score orchestralo-synthétique aux accents rock est remarquable.  |