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Au-delà d’un thème principal fort bien conçu, la partition de Beltrami s’avère surtout très (trop) fonctionnelle. On discerne pourtant par instant des embryons d’idées intéressantes. Dommage qu’il n’ait pas jugé bon de les développer plus avant. Déception… |
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Si la patte de Beltrami est bien là, elle rehausse à peine un accompagnement assez platement fonctionnel. Les fans de Marco y trouveront quelque éclat et matière à discussion, les autres passeront gentiment leur chemin. |
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Dilemme connu : que faire de ces disques routiniers pour leur auteur et paresseux dans leur développement, mais qui proposent tout de même deux ou trois pistes authentiquement inspirées ? Fans de Beltrami, ce coup-ci, c’est à vous de voir ! |
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Beltrami suit comme il peut le chemin ultra balisé de ce Jason Bourne sous Xanax : non seulement sa personnalité n’est que relativement prégnante, mais l’ensemble se révèle étonnement ennuyeux. La déception du mois. |
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Marco, bordel ! On est en septembre, mec ! T’es complètement à côté de la plaque ! Et en plus, avec cette partition pseudo Jamesbondienne, tu nous livres tout juste un bon score mais sans étincelle aucune. |
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Après quelques pistes plutôt enthousiasmantes en début d’album, le score s’enlise dans du sound design. Même si c’est un genre où Beltrami peut exceller, force est de constater que ce November Man ne restera pas dans les annales. |