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Boom-Boom Tyler et ses amis gros bras sont de retour, plus vindicatifs que jamais. Rien de bien nouveau donc, ce qui n’est déjà pas si mal tant le compositeur est à l’aise dès qu’il s‘agit d’écrire de l’électro-symphonique bourrin débordant de testostérone.  |
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Après avoir un peu redressé la barre pour le deuxième opus, Tyler retombe dans le travers du premier, à savoir un gros son routinier, sans flamme, qu’il a certainement du composer les yeux fermés. Ennuyeux.  |
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Tyler sait très bien quand un film peut se contenter du pilotage automatique. Mais c’est aussi quelque chose qu’on peut se permettre quand on a un vrai savoir-faire.  |
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J’aime bien le thème. Voilà. Sinon, euh, non.  |
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Ouééé, c’est l’heure de flinguer du niakoué ! C’est du moins ce que Tyler continue à faire, dans toute sa bourrinattitude et sa foutraquitude. Oui, je sais, ça ne se dit pas.  |
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« C’est le mois Brian Tyler » Part 1 : on commence d’entrée de jeu avec son meilleur score du mois, sans aucun doute. Le petit côté 80’s le rend beaucoup plus digeste que ses petits frères. Oui, parce qu’en fait, je trouve ce score assez quelconque.  |
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Pour ce troisième opus, Tyler revient lui aussi, convoque encore l’artillerie lourde, rehausse les basses au maximum et envoie la purée. C’est puissant, parfois enivrant, vite saoulant tant tout cela manque de second degré.  |