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Boom-Boom Tyler fait de son mieux pour sauver les meubles dans ce film-catastrophe catastrophique et livre une musique efficace, mais un peu scolaire, pas franchement inspirée et qui manque surtout terriblement de souffle. Un comble ! |
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Tyler sait se faire entendre même en plein cœur d’une tempête, mais ça on n’en doutait pas une seconde. Comme on peut s’y attendre, on en ressort une fois de plus lessivés, mais ici, sans aucun souvenir de l’événement. Tant mieux ? |
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Vu la quantité de scores qu’il aligne chaque année, Tyler est obligé d’en composer certains en dormant. |
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Oh, des crescendos de timbales ! Trop fort le père Tyler. Un score riche et merveilleux d’une subtilité à couper le souffle ! |
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Tyler, malgré sa tête de BG rocker, sait aussi réfléchir. Nan, j’rigole : ce n’est pas une tempête sous un crâne, mais du déjà entendu efficace mais en fait pas très intéressant. |
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« C’est le mois Brian Tyler » Part 2 : on enchaîne avec la soupe qu’il nous sort assez régulièrement, de l’orchestral à la mode qui dégouline dans tous les sens, le rendant très vite insupportable. |
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Lignes mélodiques longues, effets choraux, puissance des basses et des percussions électroniques qui recouvrent l’orchestre. Tyler tente même quelques ruptures, mais c’est vite lassant. On préfère toujours le Twister de Mancina. |