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Une guitare noyée de réverb’, des percussions et autres instruments exotiques, et voilà. On attendait autre chose de Morin, habituellement plus inspiré, même si sa musique parvient tout de même à évoquer une certaine forme de spiritualité. |
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Une approche épurée à double tranchant qui évoque une spiritualité à hauteur d’homme en évitant de forcer le trait, mais qui, par trop de banalité dans la forme, finit par tourner en rond et ennuyer. Un supplément d’âme n’aurait pas nui. |
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Répétitif et atmosphérique. Mais, malgré les évidences (guitare électrique pleine de réverb’ et percus indiennes), il y a une limpidité dans l’écriture, une liberté et une légèreté dans l’interprétation qui finissent par pénétrer l’auditeur. |
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Ça ne m’intéresse absolument pas, j’avoue m’ennuyer comme un poulet au curry sans curry. Mais ça n’empêche que c’est un album bien foutu, bien produit. Maintenant est-ce à avoir dans sa discothèque ? Bof. |
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Belle simplicité dans la musique de Cyril Morin, qui semble privilégier la tendresse et l’humain à la spiritualité. Quelques beaux moments. |
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À la limite, si vous comptez visiter les aborigènes d’Australie, ça peut faire la blague, mais globalement, c’est de la guitare, genre Babel, sur la plupart des morceaux. Joli mais rapidement répétitif. |