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Il y a bien quelques idées mélodiques, mais celles-ci se retrouvent vite noyées dans une mélasse électro sans originalité. Bref, un score qui, sans être vraiment détestable, glisse sur le Téflon de mon cerveau sans y laisser la moindre trace résiduelle.  |
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Trapanese n’est pas plus maladroit qu’un autre dans l’électro comme dans l’orchestral. Mais, pour une raison ou pour une autre, l’inspiration manque pour apporter autre chose qu’une musique transparente dépourvue d’émotion.  |
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Vous voulez un score qui s’oublie au fur et à mesure qu’on l’écoute, qui convienne à n’importe quel type de film, d’image, d’émotion, tant il s’allonge, sans aucun relief sur les images sans jamais sembler les voir ? C’est Trapanese qu’il vous faut !  |
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Au milieu d’un marasme de « mélodies » électro toutes plus dégueulasses les unes que les autres, on trouve parfois de jolis motifs orchestraux qui sont bien souvent saccagés par une autre couche d’électro dégueu. Dommage.  |
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E.T. chez Oblivion. C’est joli, ce n’est pas dégueulasse mais pas non plus impérissable.  |
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L’espace, c’est tentant, mais difficile d’y aller en vacances. Mais il nous reste le voyage musical de Trapanese : de l’électro-orchestral simple, un peu trop d’ailleurs au point de s’oublier aussitôt l’écoute finie. Ça sera pour une prochaine fois.  |