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Powell transcende les thèmes du premier film, en ajoute d’autres tout aussi fabuleux et enchaîne les morceaux de bravoure avec une énergie incroyable qui emporte tout sur son passage. Sans hésitation, le score du premier semestre, si ce n’est de l’année. |
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Le dragon porte une fois de plus bonheur à Powell qui donne un second souffle à l’inspiration que nous avions tant applaudi il y a quatre ans. Les anciens thèmes sont revigorés, les nouveaux assez excitants, et l’enthousiasme intact. |
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Ne pas se laisser tromper par la légère déception de la première écoute : certains passages viennent directement du précédent score. Mais le reste est superbe, plein d’une certaine mélancolie, pour peu que l’on prenne la peine de l’entendre. |
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La claque de l’année. Powell s’est juste surpassé, c’est sa Chapelle Sixtine, son Empire Strikes Back, sa muraille de Chine, bref son chef-d’œuvre. Si vous ne l’achetez pas, c’est que vous n’aimez pas la musique de film. |
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Même si l’effet de surprise s’est estompé, le plaisir est irrépressible. Mais cela, cher lecteur, tu le savais déjà, non ? Bravo monsieur Powell, et merci. |
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On peut peut-être lui reprocher d’être un peu trop proche du premier opus, mais quelle claque, mes petits gars. L’orchestre y est un peu plus ample, Powell enclenche enfin la cinquième et nous pond des morceaux qui rendent le premier CD obsolète. |
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Powell revient à Berk avec fougue et panache, abandonne certains thèmes majeurs du premier opus, en propose de nouveaux tout aussi convaincants. Les passages d’action ne sont pas en reste et le mixage est moins fatigant que celui du précédent album. |