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Entre suspense minimaliste, instruments ethniques et chorale éthérée, Child’s Play tisse une atmosphère déstabilisante de malaise et d’inquiétude. Les synthés datés de First Born, plus reposants, sont un peu pâles en comparaison.  |
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La joliesse mélodique et le parfum de thriller 80’s de First Born sont appréciables, mais c’est l’écriture dérangeante, provocante même, de Child’s Play, alternant brillamment dissonances et chorale religieuse d’enfants, qui emporte le lot.  |
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Côté pile : chœurs angéliques, côté face, synthés ringards et sonorités datées. Tout du long : des répétitions qui musclent le catalogue de l’éditeur, mais rendent l’écoute bien indigeste.  |
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J’aime beaucoup le travail de Small, et si je trouve mon compte dans le premier film représenté ici, le second est d’une inutilité flagrante. M’enfin, voyons-le comme un cadeau bonus plus qu’autre chose.  |
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Un score ironique qui donnerait envie de brûler un cierge… et l’église avec !  |
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Double programme assez inégal. On passera vite First Born, pas terrible, pour rester sur Child’s Play, un ancêtre du score horrifique plein de bruits bizarres. Sauf qu’ici, c’est extrêmement bien fait, expérimental à souhait, donc vraiment flippant.  |
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Si Small a été associé à de très bons films, notamment dans les années 70, ces deux-là ne viennent rien ajouter à son tableau d’honneur. On s’y ennuie ferme, tout cela a déjà été dit, et en mieux.  |