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Un feu d’artifice mélodique qui déborde d’émotion, d’ébouriffantes fanfares et de pièces chorales qui tiennent souvent le devant de la scène. Le souffle romantico-épique qui illumine cette partition est, de nos jours, en voie de disparition. |
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Un spectacle musical à l’esprit Rózsa-esque qui ne manque pas de superbe et assume avec fluidité et sans trop d’excès sa solennité un peu classique, ses hymnes fiers, ses marches altières et ses éclats romanesques. Belle surprise. |
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Un score splendide et flamboyant, dans la pure veine romantisme symphonique, gargantuesque, tout en chœurs massifs, envolées quasi liturgiques et déferlements de cordes élégiaques ou orageuses. Encore une pépite méconnue. |
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Et hop, le Seeber joue avec ses chœurs, fait planer le fantôme d’une époque où l’on savait composer sans cynisme ni fioritures. On est dans le monde du merveilleux, fermez les yeux et rêvez, bonnes gens. |
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Une musique pour la téloche qui se rêve blockbuster mastoc et déboulonne tout sur son passage à coups de bélier symphoniques. À terme, le zèle martial de Seeber finit cependant par mettre les esgourdes à rude épreuve. |
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(Ré)édition bienvenue (et à tout petit prix) du fleuron du compositeur qui propose une musique orchestrale et chorale ample, généreuse et mélodieuse. Vingt minutes supplémentaires intègrent le programme. |