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Une sorte de Bewitched déviant et malicieux : entre le lustre de Mancini et le Mont Chauve de Moussorgski, Shore donne dans le pastiche. Un exercice dont il se tire à merveille, avec humour et une énergie proprement… diabolique ! |
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En un sens, le Witches Of Eastwick de Shore. Cette diablesse un brin moussorskienne, armée de sortilèges délicieusement surannés d’un Hollywood lointain annonçant la future musique d’Ed Wood, a de beaux atouts à faire valoir. |
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Une redécouverte qui évoque souvent The Frighteners et Witches Of Eastwick. Un régal ironique et gothique et une jolie bouffée d’air qui se glissera avec bonheur entre les mastodontes pas toujours digestes de la discographie de Shore. |
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Une note justifiée rien que pour la piste Flying Vegetables. BAM ! Je vous ai dit que j’aimais cet album ? |
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C’est toujours fun d’entendre Shore s’illustrer sur des comédies : à force d’écouter ses travaux pour Cronenberg ou Jackson, on oublie qu’il a d’étonnantes cordes à son arc. Une charmante compagne diabolique à Ed Wood. |
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Un peu oubliée entre les expériences épidermiques pour Cronenberg et les gros loukoums de la Terre du Milieu, cette récréation pleine de peps a son charme bien à elle. Reste qu’à terme, on frôle l’overdose de clavecin. |
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Voici une sortie inattendue qui a tout pour plaire avec un score orchestral inédit de Shore, qui a visiblement pris beaucoup de plaisir à pasticher le répertoire classique russe pour illustrer cette comédie romantique aux accents surnaturels. |