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Comment ne pas succomber, une fois encore, à la fascination maléfique d’une partition horrifique pour synthétiseur aussi inventive que bourrée d’un humour noir salvateur ? Oui, comment ? Ben non, on ne peut pas.  |
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La nostalgie n’explique pas toujours tout : voilà une vraie et pure pépite des années 80, singulière, astucieuse, qui aujourd’hui encore fascine par son fourmillement d’idées sonores.  |
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Ok, ce n’est pas fait pour tout le monde, mais le score de Harrison est un des grands de l’époque, tout à fait en adéquation avec le film. Si vous êtes allergique aux synthés 80’s, passez votre chemin.  |
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Comme Day Of The Dead, c’est un vrai plaisir nostalgique que de redécouvrir cette partition avec son thème culte. La musique parfaite pour vos vacances à la plage, vos fêtes des pères, ou encore si vous êtes mysophobe. Hihihihihahahaha !  |
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Harrison a vraiment loupé le coche dans les années 80. Il n’y a plus grand monde pour se souvenir de ses très inventives sonorités électroniques, dont le potentiel culte valait bien celui auréolant les scores de Carpenter.  |
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On ne va pas se mentir : ici, la nostalgie joue à fond, car il est vrai que musicalement parlant, l’ensemble est daté. L’éditeur a mis les petits plats dans les grands en ajoutant les musiques préexistantes appartenant à la bibliothèque du studio.  |