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Un vrai climat fantastique, ciselé et chatoyant de thèmes richement brodés, des orchestrations exemplaires où chaque instrument brille de mille feux, des pièces d’actions enflammées… Que voilà une belle parure pour le film de Gans ! |
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Grâce à un discours musical mené avec grand soin et précision, rehaussé par un raffinement orchestral tout européen, le compositeur des Émotifs Anonymes baigne le conte d’un merveilleux absolument abouti et envoûtant. |
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Classique sans être académique, émouvant sans être pompier, riche sans être indigeste, Adenot compose un disque parfait, qu’il avait peut-être en lui depuis longtemps. Quoi qu’il en soit, l’écoute de cette belle œuvre tient du rêve éveillé. |
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J’ai pris un réel plaisir à écouter ce score qui penche parfois du (bon) côté d’Elfman et redonne espoir dans la musique de film telle qu’on l’aime, avec de beaux thèmes, une belle construction et une sincérité dans l’écriture. Merci Mr. Adenot ! |
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Adenot prend le relais de Georges Auric sur cette version moderne du conte et compose un score orchestral très respectueux et assez inspiré (Elfman en tête) sans toutefois tomber dans les travers de la nouvelle musique hollywoodienne. |
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Tandis que Gans joue à nouveau le geek auto-satisfait, Adenot préfère camper sur de très classiques positions. Sage résolution, tant son œuvre, sans culminer à des cimes bouleversifiantes, est l’unique garant de chair et d’âme du film. |
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Adenot, compositeur accompli hélas sous-employé, revient avec ce magnifique score symphonique, pétri de mélodies et qui reflète une véritable connaissance de l’orchestre et de ses couleurs. Que ça fait du bien ! |