QB VII (1974)Compositeur : Jerry Goldsmith
Éditeur : Prometheus Records
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Toute la sensibilité d’un Goldsmith écorché vif est ici condensée, du lyrisme le plus pur au recueillement le plus profond, de la colère la plus terrible à l’espoir le plus déchirant. Cette magistrale partition est le sublime miroir de sa profonde humanité. |
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Avec Goldsmith, le petit écran ne l’était jamais tant que cela ! En témoigne cette partition grandiose aux mélodies inspirées. Mais cette réinterprétation est-elle moins habitée qu’à l’accoutumée ou n’est-ce qu’une bête impression ? |
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Une musique grandiose, grave, noble, et souvent déchirante, mais aussi exaltante et épique dans laquelle on sent, comme pour Masada, un compositeur très impliqué, puisant son inspiration dans la tradition musicale juive. Le résultat est renversant. |
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Je ne sais même plus quoi sortir comme éloges sur Goldsmith. Ce réenregistrement est tout simplement d’une puissance hors du commun, avec ses chœurs à la Omen et ses thèmes aussi déments que ceux de Masada. |
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Voici sans doute (en compétition avec Masada, quand même) ce que Jerry a livré de plus abouti pour la petite lucarne : une pure merveille écrasante de majesté et d’émotion, dont on se réjouit de découvrir enfin tous les trésors. |
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Un enregistrement attendu préservant une musique réputée perdue dont seules 30 minutes avaient auparavant été éditées. Après, il faut tout de même reconnaître que la direction de Nic Raine n’est pas à la hauteur de celle de Goldsmith. |
