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Retrouvant pour la troisième fois Polanski, Desplat modèle un thème unique et le transforme sans relâche, de la valse à la danse grecque, offrant un mariage unique de classe et d’ironie condensé en une longue et élégante suite symphonique de 36 minutes.
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Grâce à un usage parcimonieux des instruments et une ironie sous-jacente qui rappelle parfois Satie, Desplat ose pour Polanski une forme de dandysme musical porté par un thème unique décliné jusqu’à l’obsession en délicieuses variations. On applaudit.
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De Vénus, il ne reste ici qu’un charme assez inoffensif, distillé, pour les plus attentif, par une musique passe partout et incolore comme Desplat en compose si souvent, hélas.
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Desplat a dû s’amuser en compagnie de Polanski ! Cette suite d’une bonne demie-heure brille par son côté ludique et quelque peu ironique. Quand le sous-texte passe par la musique, c’est un régal.
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Nan mais sérieux Alexandre, quand est-ce que tu fais une pause ? Ou que tu te plantes lamentablement ? Je ne sais pas moi, histoire de varier les plaisirs. C’est bien gentil d’enchaîner les bons scores, mais ça devient redondant, non ?
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