 |
La partition rejetée de Goldsmith, identique à l’édition Varèse, ne mérite qu’un intérêt poli tant elle semble n’être qu’une ébauche (on y trouve d’ailleurs le futur thème de The Russia House). Et celle de Sobel est tout à fait dispensable.
 |
 |
Les retrouver côte à côte a au moins le mérite de relativiser les contributions, car si l’effort de Goldsmith est bel et bien minime dans sa carrière (dans le genre, Runaway et Criminal Law étaient d’une autre trempe), celui de Sobel est pathétique.
 |
 |
Deux scores purement 80’s, l’un très classique, déjà entendu 1 000 fois, l’autre de Jerry, rejeté, forcément un peu barré, plus intéressant et aux antipodes de la production du moment. Mais pas sûr que ça soit réellement écoutable tout ça…
 |
 |
C’est un Jerry en toute petite forme qui accoutre de synthés tristounets un univers pourtant séduisant, mélange de polar et de SF. Parfois, à déterrer des partoches qui n’appelaient que l’oubli, les éditeurs sont pires que des paparazzis.
 |
 |
L’un des plus exécrables scores 100 % synthétique de la pire période de Goldsmith ré-édité, et la première édition du non moins épouvantable score de remplacement du monteur musique devenu compositeur Curt Sobel. Beurk !
 |