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L’Amant, c’est d’abord et surtout un thème principal sublime et vaporeux, magnifié par le piano, la clarinette et des cordes voluptueuses et troublantes. C’est aussi des pièces de source music de grande classe, des arrangements exquis et une sensualité de tous les instants. C’est, enfin, un bel album qui présente pour la première fois la partition intégrale.
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L’une des plus grandes réussites de Yared s’offre une seconde jeunesse. Beaucoup de pastiches et de musiques de source, impeccables comme toujours chez ce compositeur, mais aussi et surtout une délicatesse et un tact, notamment dans la conduite du délicieux thème principal, qui servent admirablement les personnages et la sensualité du propos.
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Un kaléidoscope émouvant et profond, entre rêveries orientalisantes ou angoissées, underscore de circonstance façon musique de salon de l’époque, et reprises songeuses, au piano, des motifs principaux. Un amant pas irrésistible, mais qui sait aimer ceux qui s’abandonnent à lui…
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Un compositeur appliqué sur ce genre de film, ça donne forcément du bon. Et de nouveau, je redécouvre Yared. Un plaisir d’écoute doux-amer sur la durée de l’album, ça ne se refuse pas. Vous danserez bien une petite habanera ?
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Une autre facette de Yared, bien plus chaleureuse et colorée, même si l’on y retrouve son électronique impressionniste. S’y mêlent un thème d’amour sensuel aux cordes, à la clarinette et au piano presque jazzy, des synthétiseurs exotiques et inquiétants, et des musiques de source insouciantes et dansantes. Une réédition augmentée fort bienvenue.
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