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Un court mais élégant voyage au sein des brumes d’un paysage celte qui, lorsque qu’elles se dissipent, laissent entrevoir une beauté simple et pure. Une partition très émouvante à écouter au petit matin pour démarrer la journée en douceur.  |
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Leroy nimbe le drame d’une ensorcelante brume aux sonorités boisées (flûtes, violon folk soliste) d’où émerge la pureté d’une harpe celtique. Le lyrisme quasi fantasmagorique qui en émane est tout à fait réussi et envoûtant.  |
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Un score comme on en entend beaucoup, pas incroyable, mais qui fait son taf. Parfait pour une soirée au coin du feu en bonne compagnie : ça vous aidera certainement à pécho.  |
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Délicat conte onirique aux sonorités diaphanes, fragiles, de flûte, violon, harpe, guitare… Évoque la sensation d’une douce et fine pluie d’été, légère et apaisante, dans la chaleur étouffante de l’été.  |
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Leroy nous revient avec cette musique simple, envoûtante, construite sur la harpe, la flûte et les cordes. Très courte, la partition évoque le style bucolique de James Horner, notamment The Spitfire Grill, et de Thomas Newman.  |