À condition de faire abstraction des moyens utilisés (des synthés tout pourris), ce Supershark ne manque pas d’idées, et il est probable que si il avait disposé d’un orchestre, le compositeur aurait fort bien su quoi en faire. Dommage donc. |
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Rigolos ces furtifs petits tics goldsmithiens disséminés ici ou là. Bon allez, ça vaut bien la demi-étoile ! Car pour le reste, il va nous falloir une plus grosse poubelle. Bah oui… |
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Une écriture parfaitement professionnelle : c’est efficacement pompé, Fiedel et Horner en tête, et on ne peut pas dire que ça ne fonctionne pas. De là à écouter ça en boucle au casque… |
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La cover vous fout les pétoches ? Et pour cause ! Après le requin fantôme, celui à Venise, celui à deux têtes et l’autre croisé avec un poulpe, ce super requin géant qui vole et qui marche est aussi ridicule à écouter qu’à regarder. Bande-annonce ! |
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Chuck Cirino power! Je sais, ce n’est pas lui qui se cache derrière ces synthés pourraves et ces sursauts censés filer les chocottes, mais entre nous, la plupart du temps, c’est vraiment kif-kif. |