wouaaaaaaaaaaaaaa la purge !!!!....
je souhaite proposer à François Forestier, pour une prochaine édition des 1001 nanars, la définition suivante :
Anti-Christ : " Essai cinématographique métaphorico-parabolique symboliste prétentieux et risible d'un réalisateur danois se réclamant de Bergman et osant dédié son film à Andreï Tarkovsky sur le mythe de la femme sorcière médiévale."
le prologue donne d'ailleurs le ton : une scène au ralenti en noir et blanc sur un air de Haëndel montrant le couple Gainsbourg / Defoe copulant alors que l'accident qui cause la perte de leur enfant se produit. Dans le genre auteurisme prétentieux, c'est le summum, on atteint l'apogée du ridicule...mais il y a le festival de Cannes pour ça, il paraît que c'est de l'art...
Anti-Christ
Anti-Christ
BRAINSTORM main title (James Horner)
http://www.youtube.com/watch?v=HMj_80T6cyg
Film composer great Elmer Bernstein (Magnificent Seven, To Kill A Mockingbird) once said to me, “The dirty little secret is that we’re not musicians – we’re dramatists.”(Michael E Levine)
http://www.youtube.com/watch?v=HMj_80T6cyg
Film composer great Elmer Bernstein (Magnificent Seven, To Kill A Mockingbird) once said to me, “The dirty little secret is that we’re not musicians – we’re dramatists.”(Michael E Levine)
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Re: Anti-Christ
Film intellogore qui se veut une plongée dans la psyché de la Femme et de son rapport à la Nature. Prétentieux, techniquement virtuose comme peut l'être un Gaspar Noé, avec une Gainsbourg qui se met à nu dans tous les sens du terme et des emprunts à La Nurse et Evil Dead. Quelques passages à la lisière de l'épouvante et du rêve. Dafoe joue bien une scène sur deux (le reste du temps, il a l'air de s'emmerder comme un rat mort : JM Barr aurait été parfait). Beaucoup de symbolisme qui se décrypte pendant et après vision du film. Bref, inabouti, mais vraiment très intéressant.