
« Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
- Misquamacus
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« Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
Vangelis vient de nous quitter. La beauté simple de sa musique restera. 

« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
- Misquamacus
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Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
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Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "

Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru. (Pierre DAC)
- Misquamacus
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Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
Une immense perte. La trace que Vangelis a laissé est sans commune mesure, et, oserais-je dire, probablement sous-estimée.
Vangelis est peut-être le seul compositeur de musique électronique pour le cinéma a avoir livré une musique tellement expressive, tellement sincère, qu'elle n'a pris aucune ride et ne semble pas être passée de mode, ce qui est un exploit en soi.
Combien d'entre nous ont reproduit à foison ou cherché à reproduire ces sons cuivrés et glissés caractéristiques du compositeur, programmés avec le Yamaha CS-80 auquel on l'associera encore longtemps. Il avait une telle maîtrise de ces machines, qui plus est à une époque où programmer des synthétiseurs étaient une tâche laborieuse et fastidieuse. Vangelis a réussi l'exploit de ne jamais vraiment sombrer dans le kitsch, même dans ces albums solo. Il y avait toujours cette élégance, ce talent mélodique qui transcendait tout ce qu'il faisait. Et tout cela, si j'ai bien compris, sans jamais rien écrire sur le papier...
Pour ma part, 1492 a été mon premier choc discographique. C'est grâce à ce disque que j'ai découvert la stéréo (au casque). Vangelis m'a fait aimer le support CD, il est à l'origine de mon obsession pour les albums continus et a énormément contribué à mon intérêt pour la production musicale.
Vangelis est peut-être le seul compositeur de musique électronique pour le cinéma a avoir livré une musique tellement expressive, tellement sincère, qu'elle n'a pris aucune ride et ne semble pas être passée de mode, ce qui est un exploit en soi.
Combien d'entre nous ont reproduit à foison ou cherché à reproduire ces sons cuivrés et glissés caractéristiques du compositeur, programmés avec le Yamaha CS-80 auquel on l'associera encore longtemps. Il avait une telle maîtrise de ces machines, qui plus est à une époque où programmer des synthétiseurs étaient une tâche laborieuse et fastidieuse. Vangelis a réussi l'exploit de ne jamais vraiment sombrer dans le kitsch, même dans ces albums solo. Il y avait toujours cette élégance, ce talent mélodique qui transcendait tout ce qu'il faisait. Et tout cela, si j'ai bien compris, sans jamais rien écrire sur le papier...
Pour ma part, 1492 a été mon premier choc discographique. C'est grâce à ce disque que j'ai découvert la stéréo (au casque). Vangelis m'a fait aimer le support CD, il est à l'origine de mon obsession pour les albums continus et a énormément contribué à mon intérêt pour la production musicale.
- Patrick59
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Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
Un des premiers cd que j'ai acheté en 1988 était un Vangelis, pas trop connu : Direct.


Grazie di esistere (Merci d'exister)
https://www.emma-marrone-fanblog.com/
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Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
Beau titre de topic ! En musique de film c'est bien sûr Blade Runner que je préfère mais j'aime aussi les autres
RIP
RIP

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- Hitman
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Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
Bien triste nouvelle au réveil ce matin
. Il fait partie des compositeurs dont la musique a marqué mon enfance et que je réécoute très régulièrement.
Une bien belle collaboration :

Une bien belle collaboration :
Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
Oui, j'aime aussi beaucoup leur collaboration.
Le morceau le plus cinématographique de leur duo:
Le morceau le plus cinématographique de leur duo:
Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
Et puis son crépusculaire et hanté "12 O'clock" (sillon hésitant entre le mouvement du jour et le repos de la nuit) toujours tiré de "Heaven and hell" ; oui encore une perte irrémédiable !
Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
Encore un grand qui s'éteint... sa musique restera à jamais dans nos cœurs. 



- Misquamacus
- Darkman
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Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
J'aime beaucoup son dernier album aussi.
« Je ne connais pas la moitié d’entre vous autant que je le voudrais et j’aime moins de la moitié d’entre vous à moitié moins que vous ne le méritez ! »
Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
Salut à tous,
En hommage pour Vangelis, j'ai consacré le dernier épisode du Chant des Ecrans à l'analyse de la BO de Blade Runner. Comment le compositeur grec a changé l'histoire de la pop culture, ses influences électro et jazz, l'importance des bruitages, des musiques traditionnelles dans le film. On aborde aussi la postérité du film dans la synthwave, le tout agrémenté d'une reprise du morceau End Title. Je n'apprendrai rien aux experts et je n'ai pas détaillé les tumultueuses péripéties des différentes versions de la BO, m'y étant moi-même perdu
!
Bon weekend
En hommage pour Vangelis, j'ai consacré le dernier épisode du Chant des Ecrans à l'analyse de la BO de Blade Runner. Comment le compositeur grec a changé l'histoire de la pop culture, ses influences électro et jazz, l'importance des bruitages, des musiques traditionnelles dans le film. On aborde aussi la postérité du film dans la synthwave, le tout agrémenté d'une reprise du morceau End Title. Je n'apprendrai rien aux experts et je n'ai pas détaillé les tumultueuses péripéties des différentes versions de la BO, m'y étant moi-même perdu

Bon weekend
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- Weather Man
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Re: « Tous ces moments seront perdus dans le temps, comme des larmes sous la pluie... "
L'une de mes premières grosses claques d'émotions et de cinéma de jeune garçon. J'ai versé de grosses larmes, et la musique n'y était vraiment pas pour rien.