Je n'ai pas vu le film qui a tout raflé et j'ai boycotté la cérémonie suite à la non nomination de "La Belle et la Bête"

Quelqu’un a vu le film ?
... qui a pourtant raflé un César!Misquamacus a écrit :j'ai boycotté la cérémonie suite à la non nomination de "La Belle et la Bête"
Pour toi, Grand Sachem, et rien que pour toi, LA réplique "Misquamacus approved" qui a illuminé une cérémonie aussi terne qu'à l'accoutumée.Misquamacus a écrit :j'ai boycotté la cérémonie suite à la non nomination de "La Belle et la Bête"
Je parle de la musique de Pierre Adenot.Shardar a écrit :... qui a pourtant raflé un César!
Personnellement, j'avais noté ta remarque car j'étais intrigué par cette B.O.. Il m'est souvent arrivé par le passé de tenter l'oeuvre de compositeurs que je ne connaissais pas du tout, pas même de réputation. Parfois pour le meilleur, parfois pour le pire. Aujourd'hui, je suis plus méfiant et j'avoue avoir été hésitant avec ce "Timbuktu". Ton message m'a un peu aidé à franchir le pas.YuHirà a écrit :J'avais évoqué cette partition en décembre dans le topic "Vos Coups de coeur du moment", sans grand succès.
Eh ben, voilà une BO que je vais me dépêcher de découvrir car j'ai été très marqué par le travail de Bini sur les "Caprices d'un Fleuve", où il mélangeait avec un goût certain musique baroque et musique africaineDans la relation Occident/afrique, j'ai toujours trouvé le travail de Bini sur "Si le vent soulève les sables" plus singulier et poétique.
Il reprend un peu le même principe sauf que c'est une intrigue très contemporaine dans laquelle l'élément baroque n'a plus lieu d'être. Maintenant, je ne cherche pas à établir un jugement de valeur entre l'approche de Bini et celle de Bouhafa qui a ses propres particularités et qualités. Je reconnais l'arbitrarité de ma comparaison. J'essaie seulement de donner une orientation sur ce qui me touche davantage dans la mélodie, l'habillage, les combinaisons instrumentales, rythmiques... Appréciation purement personnelle bien sûr.YuHirà a écrit :Eh ben, voilà une BO que je vais me dépêcher de découvrir car j'ai été très marqué par le travail de Bini sur les "Caprices d'un Fleuve", où il mélangeait avec un goût certain musique baroque et musique africaineDans la relation Occident/afrique, j'ai toujours trouvé le travail de Bini sur "Si le vent soulève les sables" plus singulier et poétique.
Cet assez terne sentiment s'est également vérifié aux oreilles du vieux Van Cleef, qui s'était attendu à (beaucoup) mieux eu égard au vif engouement de YuHirà. Timbuktu est loin d'être un travail de vendu, entendons-nous bien, mais de là à le voir bourré de glorieuses promesses...Janus a écrit :Je n'ai pas été impressionné par cette musique mais pas déçu non plus. Ca manque un peu d'intensité et d'inventivité à mon goût. C'est un peu prévisible dans la forme.
En tout cas j'ai acheté le CD et l'ai reçu il y a quelques jours. C'est le René Marc Bini que j'aime et qui m'inspire.Janus a écrit :Il reprend un peu le même principe sauf que c'est une intrigue très contemporaine dans laquelle l'élément baroque n'a plus lieu d'être. Maintenant, je ne cherche pas à établir un jugement de valeur entre l'approche de Bini et celle de Bouhafa qui a ses propres particularités et qualités. Je reconnais l'arbitrarité de ma comparaison. J'essaie seulement de donner une orientation sur ce qui me touche davantage dans la mélodie, l'habillage, les combinaisons instrumentales, rythmiques... Appréciation purement personnelle bien sûr.YuHirà a écrit :Eh ben, voilà une BO que je vais me dépêcher de découvrir car j'ai été très marqué par le travail de Bini sur les "Caprices d'un Fleuve", où il mélangeait avec un goût certain musique baroque et musique africaineDans la relation Occident/afrique, j'ai toujours trouvé le travail de Bini sur "Si le vent soulève les sables" plus singulier et poétique.
C'est sans doute pour ces raisons que j'ai une préférence pour l'approche de Bini: <<expérimentale, inventive et intimiste>> est une combinaison de trois mots qui font souvent mouche chez moiYuHirà a écrit :Mais j'aime tout autant Timbuktu C'est tout autre chose en fait. La démarche de Bini est plus expérimentale, plus inventive, plus intimiste. La démarche d'Amine est beaucoup plus mélodique et emphatique. Ce sont deux facettes que j'apprécie.