Je pense ne pas être le seul à mettre dandiné d'une fesse à l'autre au cinéma lors d'une confrontation à un pensum du 7ème art.
Certes quitter la salle de cinéma est une alternative envisageable, mais quitter c'est déserter et je ne puis m'y résoudre.
En conséquence c'est à de véritables agonies que j'ai été soumis au hasard de tentatives cinématographiques trop hardies.
Aussi afin d'éviter à d'autres de telles tortures je me permets de citer 3 films que j'ai récemment vus et qui ont été autant de chemins de croix (événtuels "nirvava" pour d'autres):
Par ordre de sentiment de révolte:
I don't want to sleep alone (Taïwan) de Tsaï Ming Liang 2006
Faust (Allemagne) de Alexandre Sokourov Lion d'or du festival de Venise 2012
Le goût de la cerise de Abbas Kiarostami palme d'or Cannes 1997
NB Je n'ai encore pas vu "Lumière silencieuse " de Carlos Reygadas; si quelqu'un pouvait me décourager ? Merci d'avance
Les décrochements de mâchoires au cinéma
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