Scorebob a écrit :Tu peux encore trouver le double album d'origine pour une poignée de cacahuète et en l'écoutant tu pourra constater qu'à part la chansonnette de Céline dont on nous a rabattu les oreilles et qu'elle même ne supporte plus de chanter le score d'Horner est un peu un concentré de son style, a la fois élégiaque et percutant , vibrant avec des accents dramatiques assez énormes pour toute la partie du naufrage; Une sorte de quintessence de son travail, mais le grand public n'a retenu que la chanson guimauve qu'Horner avait réussi a caser alors que Cameron n'en voulait pas sur son film.
C'est une œuvre majeure du regretté compositeur qui quelque part souffre de la trop grande notoriété du film qu'elle illustre et de son succès populaire hors normes, en effet je doute que beaucoup de ceux qui ont achetés l'album initial pour la chanson et suite au film se soient attardés a écouter le score dans son intégralité.

MV sur le FSM Board a écrit :This score is kinda mind blowing. It's like the cool father of Carpenter and Moroder sound that no one knew existed...like Shire road into town one night, had his fun and then took off the next morning leaving behind a unique musical experimentation that, while not heard until now, laid the groundwork for that awesome synth sound that would be heard in the decade to come.

John Nash a écrit :Et bien dites-moi, au vu de l'extrait, la scène du dessin avec la musique initiale (avant que Cameron ne décide d'utiliser la version au piano seul) ça aurait été... autre chose.

Nameless1138 a écrit :Sinon, le Williams a l'air d'avoir un son incroyable, vous ne trouvez pas ?

Lee Van Cleef a écrit :je lui préfère d'une bonne tête la radicalité plus que hargneuse de l'orchestre hérissé d'électro de The World is not Enough.

Edern a écrit :

Lee Van Cleef a écrit :je lui préfère d'une bonne tête la radicalité plus que hargneuse de l'orchestre hérissé d'électro de The World is not Enough.

Intéressant, car j'aurais plutôt qualifié Die Another Day de radical justement, Arnold y manipulant à tort et à travers l'enregistrement orchestral pour en faire pratiquement un instrument électronique.

Lee Van Cleef a écrit :Dans mon esprit, les 007 ayant Brosnan pour vedette ont tendance à se brouiller jusqu'à l'annihilation du plus petit signe distinctif. Pour tout dire, il m'est arrivé parfois d'être à deux doigts d'attribuer l'homérique White Knight de Tomorrow Never Dies à Eric Serra. Voyez le genre...