Un titre réclamé depuis longtemps.

Jpbo a écrit :il reste a avoir ,maintenant LOOKER du meme compositeur que les guerriers de la nuit!!!!!!!!!!!!!!

Scorebob a écrit :Un titre réclamé depuis longtemps.

Score que je réclame depuis que j’ai vu le film il y a longtemps et je ne suis pas le seul .
C’est le seul passage que j’ai pu extraire du DVD sans avoir de dialogues dessus. C’est normal c’est le générique de fin

Les extraits de RED 2 n'incitent vraiment pas à l'achat.

Mortimer a écrit :

Jpbo a écrit :il reste a avoir ,maintenant LOOKER du meme compositeur que les guerriers de la nuit!!!!!!!!!!!!!!

Scorebob a écrit :Un titre réclamé depuis longtemps.

Score que je réclame depuis que j’ai vu le film il y a longtemps et je ne suis pas le seul .
C’est le seul passage que j’ai pu extraire du DVD sans avoir de dialogues dessus. C’est normal c’est le générique de fin

Kim Carnes avait repris la chanson du film en 1982 sur son album Voyeur.

Forrester a écrit :Les extraits de RED 2 n'incitent vraiment pas à l'achat.

Même si les extraits ne sont pas renversants, le fait que Silvestri ait laissé la grosse artillerie au placard au profit de tonalités plus modernes n'est pas pour me déplaire.
J'y ai même retrouvé l'esprit de son score rejeté de Mission Impossible (notamment dans l'extrait 'London Chase')

Pas mon truc.

Jpbo a écrit :il reste a avoir ,maintenant LOOKER du meme compositeur que les guerriers de la nuit!!!!!!!!!!!!!!

Un film de Michael Crichton que j'ai été voir à sa sortie, ayant aimé "Morts suspectes" (Coma). Et effectivement, c'est là que j'ai découvert le nom de Barry De Vorzon. C'est une BO que j'aimerais bien voir éditée.

Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis, et écoutant souvent Danger Immédiat, je me suis commandé (mais en Allemagne) le double intrada "Jeux de guerre", ayant vu que c'était limité à 3000 ex. et qu'il ne valait mieux pas trop attendre, cela revient fdp compris à 28.95 euros.
En tout cas, un chaleureux merci pour les adresses espagnoles allemandes et italiennes qui permettent d'éviter les surprises douanières.
Et puis les Horner commencent à se faire nombreux chez moi puisque j'ai acheté "Apollo 13" et "En pleine tempête" à Forrester.

Patrick59 a écrit :Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis, et écoutant souvent Danger Immédiat, je me suis commandé (mais en Allemagne) le double intrada "Jeux de guerre", ayant vu que c'était limité à 3000 ex. et qu'il ne valait mieux pas trop attendre, cela revient fdp compris à 28.95 euros.

Je pense que tu as confondu Intrada et Lalaland pour "Jeu de Guerre"; c'est vrai que ce n'est pas toujours facile de s'y retrouver! Sinon, je pense que ce "Jeu de guerre" sera là pour un moment. 3000 exemplaires pour un score qui avait déjà une édition plus courte mais contenant l'essentiel et qui n'était pas spécialement rare, de nos jours ça ne s'écoule plus aussi vite qu'il y a 4-5 ans. Enfin, peut être me trompe -je... il y a qq fois des éditions qui peuvent avoir des destinées surprenantes.

Oui, je parle de "patriot games" de la la land. Je pensais que 3000 ex au niveau mondial partaient vite, d'ailleurs Beat Records ne le propose qu'en pré commande, Rosebud Espagne ne le propose pas du tout, et seul l'allemand Christian Riedrich (Chris Soundtrack Corner) l'avait en vente.

Vu que tu n'avais pas trop aimé CLEAR AND PRESENT DANGER, à mon avis tu n'aimeras pas plus (et même peut-être moins) PATRIOT GAMES qui est un score plus synthétique et "sec" que celui du 3è film des aventures de Jack Ryan. Le cd sorti à l'époque chez Milan était (pour une fois) bien conçu et j'ai peur que les musiques "inédites" ne soient intéressantes que pour un fan d'Horner comme moi... Mais bon, peut-être me trompe-je et vas-tu préféré cette b.o. !

C'est ce qui fait que je n'ai pas accroché à Patriot Games, plus cérébral je pense que Danger immédiat .

Sam Lowry a écrit :Vu que tu n'avais pas trop aimé CLEAR AND PRESENT DANGER, à mon avis tu n'aimeras pas plus (et même peut-être moins) PATRIOT GAMES qui est un score plus synthétique et "sec" que celui du 3è film des aventures de Jack Ryan. Le cd sorti à l'époque chez Milan était (pour une fois) bien conçu et j'ai peur que les musiques "inédites" ne soient intéressantes que pour un fan d'Horner comme moi... Mais bon, peut-être me trompe-je et vas-tu préféré cette b.o. !

Oui, mais j'ai changé d'avis à force d'écouter CLEAR AND PRESENT DANGER. Il passe souvent sur ma platine laser. J'ai plus de mal avec The wild bunch de Fielding, excepté le 3e cd qui est parfait avec des rythmes rapides, c'est sans doute très bien, mais j'ai du mal avec les chants en espagnol, et avec le 2e cd qui comporte des thèmes très lents (mais ce n'est qu'un avis, hein ?)

Caprica commandé direct ! Ah, depuis le temps que je l'attendais celui-là !

Comment faites vous pour commander sur La la land ?
Je voulais passer commande de Red 2 de Silvestri, sur les autres sites de vente, j'ai donné mail, adresses, coordonnées...

Là, ils sont bien gentils, ils n'ont aucune coordonnées, mais ils acceptent dans le panier "Red 2" et m'envoient sur Paypal, j'ai arrêté la transaction. J'attends de savoir comment vous faites ?

Il y la possibilité de payer via paypal si tu as un compte chez eux ou par carte bancaire après avoir communiqué toutes tes coordonnées a LLL.



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Merci, ça a marché. Premier achat chez La la land fait.

Bon, hier je me suis régalé dès la première écoute avec deux Jerry achetés à Forrester, et qui me rappelent "Coma" : "Magic" et "Runaway l'échappé du futur", mais ce jour, "Patriot Games" de Horner chez lala land me laisse assez sceptique. Heureusement, acheté en allemagne, je n'ai pas eu de frais de douane.
Après, il est vrai que la première écoute de "Clear and present danger" n'avait pas été évidente et que j'aime maintenant.

Bmcready a écrit :Kim Carnes avait repris la chanson du film en 1982 sur son album Voyeur.

Oulah, ça ne nous rajeunit pas ! Dire que maintenant, c'est une vieille, Carnes.

Patrick59 a écrit :"Patriot Games" de Horner chez lala land me laisse assez sceptique. Heureusement, acheté en allemagne, je n'ai pas eu de frais de douane.
Après, il est vrai que la première écoute de "Clear and present danger" n'avait pas été évidente et que j'aime maintenant.

On t'avait prévenu...
Je suis en train d'écrire sur cette musique et franchement l'édition de Lalaland me permet de la redécouvrir et de la réévaluer positivement!
Après ça reste un score froid, difficile d'accès qui parle de la mort, de la guerre...

Mais tu as bien raison de ne pas te fier à ta première écoute. Je t'invite d'ailleurs à lire ce texte que j'ai écrit il y deux ans déjà et où je parle des premiers jugements par rapport à la musique : http://jameshorner-filmmusic.com/fr/ent ... ortiquees/

Je te place un extrait : Dans Il faut apprendre à aimer, un des courts aphorismes de son livre Le gai savoir (1882), le philosophe Nietzche explique qu'apprendre à aimer une œuvre musicale nécessite des efforts. Il décrit d'ailleurs trois phases :
Tout d'abord, il faut apprendre à l'identifier, à la discerner en découvrant les thèmes, mélodies, sa structure, ses différents moments.
Ensuite, vient la phase de l'effort où l’œuvre doit être « supportée » pour ce qu'elle est. Malgré son étrangeté il faut « user de patience pour son regard et pour son expression, de tendresse pour ce qu’elle a de singulier ».
Viendra ensuite seulement la dernière phase : celle de la fascination, « jusqu’à ce qu’elle ait fait de nous ses amants humbles et ravis, qui ne conçoivent de meilleure chose au monde et ne désirent plus qu’elle même, et rien qu’elle-même »

Adequacy a écrit :Tout d'abord, il faut apprendre à l'identifier, à la discerner en découvrant les thèmes, mélodies, sa structure, ses différents moments.

Nietzche ne connaissait heureusement pas encore le "sound design" apprécié par certains de nos "talentueux" compositeurs actuels.

Oui, mais par rapport à Horner, le cd de Silvestri Clean State/The Perez family séduit à la première écoute. Sans que cela veuille signifier que le Silvestri vaut mieux que le Horner.

Adequacy a écrit :Je te place un extrait : Dans Il faut apprendre à aimer, un des courts aphorismes de son livre Le gai savoir (1882), le philosophe Nietzche explique qu'apprendre à aimer une œuvre musicale nécessite des efforts. Il décrit d'ailleurs trois phases :
Tout d'abord, il faut apprendre à l'identifier, à la discerner en découvrant les thèmes, mélodies, sa structure, ses différents moments.
Ensuite, vient la phase de l'effort où l’œuvre doit être « supportée » pour ce qu'elle est. Malgré son étrangeté il faut « user de patience pour son regard et pour son expression, de tendresse pour ce qu’elle a de singulier ».
Viendra ensuite seulement la dernière phase : celle de la fascination, « jusqu’à ce qu’elle ait fait de nous ses amants humbles et ravis, qui ne conçoivent de meilleure chose au monde et ne désirent plus qu’elle même, et rien qu’elle-même »

du coup avec l'aide du génial philosophe tu poses une vraie question, a force d'accumuler les galettes, on n’écoute plus, on a plus la même capacité d’écoute pour toutes ces partitions...sauf pour celles que je connais par cœur pour les avoir totalement digérées ! Je me sens souvent victime de ce syndrome et je regrette souvent de ne plus avoir autant de temps pour m'immerger dans une partition, de ne plus avoir l’appétit de la découverte...pour celles qui en valent la peine en tout cas...rhhhaaa bientôt la quarantaine et je me pose toutes ces questions de mélomane amateur mazette...

Après on peut aussi arrêter de se poser des questions en se disant que Nietzsche (y a un s entre le z et le c en fait ) a tort...

Moins d'appétit qu'avant aussi. Les univers cinématographique actuels me passionnent moins aussi donc ça joue. Donc j'écoute peu quantitativement mais quand j'ai une (ou des oeuvres) en tête je m'en imprègne totalement pour arriver à la phase 3. Avec le temps elle reste associée durablement à la période de vie correspondante. C'est ce que j'aime. Après je respecte tout à fait les autres manières d'écouter et de "consommer" la musique.

Je suis en pleine écoute de EUROPA REPORT de Bear McCreary et je trouve assez fascinante la façon par laquelle il arrive à créer une ambiance singulière (avec, le plus, souvent, 3 bouts de ficelles). Les passages oppressants avec leur rythmique synthé entre John Carpenter et les morceaux de suspens à la Zimmer (INCEPTION est passé par là) ne sont pas du tout chiants. Mais à la différence du teuton, il faut ici ne pas s'attendre à un gros son bien ampoulé et lourdingue mais plutôt à des pulsations. Tout n'est pas synthétique, bien au contraire : on a droit à une petite formation orchestrale (essentiellement des cordes), un peu de piano. L'ensemble est d'inspiration assez minimaliste mais avec cette touche propre à McCreary qui dose à merveille les moments atonaux et les côtés plus mélodieux dans un score qui, non content de se laisser écouter sans ennui, dégage une atmosphère étrange entre solitude du vide interstellaire et oppression du vide abyssal. Encore une belle réussite de la part du compositeur barbu ....... (bon c'est vrai, je suis un peu de parti pris car j'aime vraiment ce que fait ce gars là et la passion qu'il a pour son métier)

PS : bon, vous vous en foutez mais moi je suis content d'avoir eu la petite pochette supplémentaire signée par Bear !