Lors de l'opération de 4 cds pour 20 euros , j'ai aussi reçu ce cd comme toi Kev avec cette pochette blanche .La pochette présente sur le site était une photo et non neutre .
Du coup je ne l'ai même pas ouvert

Peut-être un lot d'éditions ratées question impression mais envoyées malgré tout dans le circuit de vente ?

Kerv164 a écrit :En ce qui me concerne, j'ai acheté au Japon, tous les "Rambling records" (boitiers cristal) correspondant aux "Ecoutez le cinéma" avec des livrets au visuel bien plus attirant que ceux des CDs édités en France par Universal/Ecoutez le cinéma.

Je me suis pris Le samourai chez eux. Il y a plus de musique. Par contre, comme il manquait Les aventuriers j'ai aussi acheté l'édition française.

Scorebob a écrit :Peut-être un lot d'éditions ratées question impression mais envoyées malgré tout dans le circuit de vente ?

Alors les pochettes moches du truc et des vinyles pour leur 20 ans sont aussi des ratés..? Comme les contenus ?

Je parlais de la pochette blanche du De Roubaix en fait qui est quand même plus problématique

Ça se pourrait bien bob vu que le visuel est identique mis à part qu'il manque les photos . Ou pour économiser?

L'ORCA d'ENNIO MORRICONE sort de la box Universal mais uniquement en téléchargement pour le moment:

Scorebob a écrit :L'ORCA d'ENNIO MORRICONE sort de la box Universal mais uniquement en téléchargement pour le moment:

Si c'est la raison pour laquelle ils l'ont fait retirer chez Music Box c'est petit !

Starfe a écrit :

Scorebob a écrit :Peut-être un lot d'éditions ratées question impression mais envoyées malgré tout dans le circuit de vente ?

Alors les pochettes moches du truc et des vinyles pour leur 20 ans sont aussi des ratés..? Comme les contenus ?

Quoi, les vinyles aussi ? Alors l'erreur n'est plus envisageable : c'est un choix esthétique.

Mortimer a écrit :

Scorebob a écrit :L'ORCA d'ENNIO MORRICONE sort de la box Universal mais uniquement en téléchargement pour le moment:

Si c'est la raison pour laquelle ils l'ont fait retirer chez Music Box c'est petit !

J'avais cru comprendre que c'était en raison d'un problème de droits sur la chanson qui n'était pas réglé. D'ailleurs cette chanson n'est pas dans la version Universal.

Chanson dont la qualité sonore est particulièrement mauvaise et par dessus le marché faites dans le dos d'Ennio Morricone.

Oui mais qu’on entend dans le film donc sa présence était justifiée.

C'est curieux cette histoire de droits, le vinyle Japonais comporte cette chanson mais pas le cd Legend.

Mute30 a écrit :Ça se pourrait bien bob vu que le visuel est identique mis à part qu'il manque les photos . Ou pour économiser?

Imprimer le livret avec ou sans les photos, c'est le même prix sachant que le fond est en couleurs. Et si Universal n'a plus les sous pour imprimer en quadri, ben là, c'est que la faillite est proche. Bref, ce n'est surement pas un accident. Et c'est moche, à tout point de vue.

Ca fait quand même rêver cette pochette non?



Franchement là, je ne comprends plus.

Ca donne fichtrement envie de retourner aux vinyles

M. Lerouge étant en pleine tournée promo, je me demandais : Avez vous prévu (très cher Underscores) un entretien avec ledit Lerouge, histoire de faire le bilan des 20 ans ?

Merci d'avance.

Pour Orca Stephane Lerouge raconte sa redécouverte du fameux générique perdu et plus:

Lerouge from Universal France on the production of the new Orca soundtrack:


We unfortunately located only the LP master-tape in the Universal vaults. I have often wondered whether the Maestro really supervised the sequencing of this album himself. How could anyone possibly imagine leaving out the opening title, a sublime elegy? Or keeping the anecdotal source music Un ballo in casa? After some
long technical research in the De Laurentiis archives, I unearthed a small ¼ inch reel, including three unreleased cues... among which was the famous overture. Yes, sadly, it was a mono mix, but it still gave these tracks an existence. It took 42 years to get this Holy Grail on disc! This is the kind of miracle that you can hardly believe in.
Listening to it in the studio for the first time without any sound effects in the background… it almost brought tears to my eyes. In contrast, there was no question over integrating the song We are one. Not that the Maestro ever objected to a sung version of the main theme, but this one had been roughly put together without his blessing, and with just the voice of Carol Connors laid on top of an existing instrumental version. It should have had a genuine arrangement by Morricone, written specifically for the vocal range and key of this singer. We have to see the bright side of things however: 25 years after the release of the Legend CD, I am proud that this iconic score is now available in the most comprehensive form possible.

Oui, et ce sera peut-être mieux et plus pratique en français, la langue originelle de notre interview pour Maestro 18, dispo sur Underscores (axé sur le coffret 18 CD Decca) : http://www.underscores.fr/rencontres/in ... e-lerouge/

Q : L’un des attraits majeurs de cette édition, ce sont les trois plages inédites d’Orca, parmi lesquelles le mythique générique début interprété par Edda dell’Orso. Peux-tu nous raconter par quel miracle l’inclusion de ces morceaux, qui semblaient perdus à jamais, a été rendue possible ?

SL : "Les archives d’Universal ne contenaient hélas que la bande montée du 33 Tours original. Je me suis souvent demandé si le Maestro en avait réellement supervisé le sequencing. Comment avoir omis le sublime et élégiaque générique début… et avoir conservé l’anecdotique musique de source Un Ballo in Casa ? Une longue quête technique du côté des archives De Laurentiis a permis de mettre la main sur un bobinot quart-de-pouce contenant trois morceaux isolés… dont la fameuse ouverture. C’était un mixage mono, hélas, mais ça permettait néanmoins de faire exister ces trois titres, trappés du vinyle d’époque. C’est le genre de miracle auquel vous avez du mal à croire. Il aura fallu attendre quarante-deux ans pour que le générique d’Orca un véritable Graal, soit enfin publiée en disque ! L’écouter en studio, pour la première fois sans bruitages, m’a presque fait monter les larmes. En revanche, il n’a pas été question une seule seconde d’intégrer la chanson finale We Are One. Non pas que le Maestro ait été opposé à une version chantée du thème. Simplement celle-ci a été bricolée sans son accord, en posant la voix de Carol Connors sur une version instrumentale existante. Il aurait fallu que Morricone écrive un véritable arrangement, dans la tonalité de la chanteuse. Mais il faut voir le positif : je suis fier que, un quart-de-siècle après le CD Legend, cette bande originale iconique existe enfin dans sa version la plus complète possible."

La partie 2 de l'entretien, déjà publiée sur Maestro 19, sera mise sur Underscores 2° quinzaine de janvier (on a l'accord du Grand Sachem).

Lerouge revient sur ses autres CD, projets et évènement liés à Morricone, ce qui sans le vouloir, fait un bilan (partiel) de ces 20 années.

Bonne lecture.

PatrickB a écrit :on a l'accord du Grand Sachem).

Absolument pas !

Misquamacus a écrit :

PatrickB a écrit :on a l'accord du Grand Sachem).

Absolument pas !

Si si, mais c'est l'autre... (le vrai ?)

La playlist de Stéphane Lerouge

Stéphane Lerouge nous offre sa programmation de chansons de cinéma