Dernières visions

[Sam Lowry]

Tout heureux de pouvoir enfin m'acheter LES DEMOISELLES DE ROCHEFORT en BluRay (qui, selon les critiques aux yeux de lynx, apparemment, vaudrait le détour), voilà que je glisse la galette dans ma PS3 Slim et au bout de quelques instants ponctués de petits bruits de moteur étranges........... un sibyllin "Disque non compatible" s'affiche sur l'écran de la tv. Stupéfaction ! C'était la première fois que cela m'arrivait. Du coup, je m'assure que le lecteur n'est pas en train de lâcher en mettant un autre BluRay mais ouf...... il fonctionne.
Alors, mes chers collègues cinéphiles, cela vous est-il déjà arrivé avec ce BluRay ou un autre ? L'avez-vous échangé contre un exemplaire "viable" ?
J'ai posé trois fois la question sur le site d'Arte (éditeur de ce BluRay) mais visiblement nos amis teutons ont d'autres choses à faire que de répondre.......

[Soundtrackman]

Hello, je n'ai jamais rencontré ce genre de soucis... Vous avez effectué les dernières mise à jour de votre PS3 ?

[Sam Lowry]

Oui, Soundtrackman, MAJ ok.........
(sinon, ce n'est pas parce que mes têtes paraissent sortir tout droit d'un age antédiluvien qu'il faut me vouvoyer !! ) ......... en tout cas, merci pour ta (question)réponse

[DarkCat]

Il ne te vouvoie pas, il s'adresse juste à vous deux.

[Mortimer]

J'ai posé trois fois la question sur le site d'Arte (éditeur de ce BluRay) mais visiblement nos amis teutons ont d'autres choses à faire que de répondre.......

Le siège d’ARTE se trouve à Strasbourg. Et à ma connaissance Strasbourg n’est plus allemande depuis un bon moment. A moins que toi aussi tu crois que la dernière guerre mondiale a eu lieu en 78

[Sam Lowry]

A moins que toi aussi tu crois que la dernière guerre mondiale a eue lieu en 78

"Toi, tu fé attention à ce ke tu di, ok ?....... nan mé allo koi !..... tu touches pas à mon p'tit frère, sinon c'est la batte..... ok ?

[Misquamacus]

"The Incredible Burt Wonderstone" avec Steve Carell, Olivia Wilde, Steve Buscemi, James Gandolfini and Alan Arkin. Et Jim Carrey qui fait un grand numéro. Sympa mais pas aussi drôle que prévu. Quelques scènes bien déviantes quand même comme celle où Buscemi s'en va en Afrique apporter non pas de l'eau et de la nourriture mais des kits de magie à une population qui crève la dalle ! Autant dire que le gamin qui récupère le lapin du chapeau s'en va bien vite hors champ lui faire un sort !

[Gizmo]

The Dictator avec Sacha Baron Cohen: Ce type est fou, ça je le savait déjà mais là il va loin, nottament avec un scène d'accouchement suréaliste.
C'est pas très fin, pas très bien mis en scène et très inégal mais certains passages sont vraiment drôles

[Chapichapo]

The Dictator avec Sacha Baron Cohen: Ce type est fou, ça je le savait déjà mais là il va loin, nottament avec un scène d'accouchement suréaliste.
C'est pas très fin, pas très bien mis en scène et très inégal mais certains passages sont vraiment drôles

Voir Sacha Baron Cohen en prince Aladeen faire état devant son peuple des avancées de son programme nucléaire sans pouvoir se reretenir de rire lorsqu'il déclare que ce programme est destiné à des fins civiles, c'est grandiose.

[Lee Van Cleef]

On en connaît tous des chapelets, de ces films tellement portés aux nues que leur découverte plus ou moins tardive n'apporte que cuisante désillusion. Et dans le cas du légendaire Café Flesh, coiffé à l'unanimité de la couronne du plus remarquable film X jamais réalisé, il y avait de quoi craindre au tournant la pire des déceptions. Merveille des merveilles, aucun sentiment négatif n'a assailli le vieux Van Cleef durant le visionnage presque religieux du bel objet. Oui, bande de sardoniques satyres, j'ai bien dit "religieux", mes mains momifiées étant restées tout du long posées bien sagement sur mes genoux. Rien d'étonnant à cela : Rinse Dream (le frère du compositeur Joe Delia) conduit sa barque en esthète incorruptible, pour qui la stimulation au burin de la libido (l'ultime finalité du hard, pourtant) importe moins que la totale intégrité d'un script ambitieux et sa perfection visuelle. Ici, ce ne sont pas les contorsions ponctuées de soupirs rauques des hardeurs imbriqués les uns dans les autres qui aimantent la rétine, mais le soins sans pareil conféré aux éclairages violemment baroques, aux mouvements de caméra et à des décors mangés par les ténèbres. Cette histoire post-apocalyptique méritait bien pareille faveur, avec ses tristes résidus d'humanité rendus impuissants et cherchant un ersatz d'excitation devant la scène du Café Flesh, où les rares élus encore capables de forniquer s'ébattent dans des numéros grotesques.

En ces instants où le film cadre serré tous ces visages luisants de frustration et d'amertume, qui sont autant de répliques du spectateur lambda (dont tu fais toi aussi partie, ami lecteur !) se matant un boulard, Rinse Dream projette Café Flesh dans une dimension métatextuelle étrange et, pour tout dire, presque inconfortable, qu'on ne se serait jamais attendu à croiser au pays des appendices hypertrophiés et des orifices caverneux. Dieu merci, tout finit par rentrer dans l'ordre avec le tardif Café Flesh 2 (quinze ans séparent cette suite de son modèle), proposé sur la même galette par l'édition Blue One. Davantage remake que séquelle, le film, shooté en vidéo plus-flashy-tu-trépasses, n'a pas le millième des folles ambitions de son prédécesseur et enchaîne frénétiquement les séances de bête à deux dos (dont une torride corrida avec un homme-taureau aux cornes turgescentes). Parions d'ailleurs que c'est bien sur cet opus-là, et non sur l'authentique classique qu'il a inconsidérément vulgarisé, que le quidam en quête de petites émotions érectiles accordera sa préférence. Hélas.

[Pierrebrrr]

Hé mais Sam ??? T'as trois têtes maintenant !!!!

[Patrick59]

Star Trek into darkness ou la colère de Patrick. Digne des autres J J Abrams ("Alias" et "Lost"). C'était soi disant un reboot, pas un remake, en fait c'est une séquelle qui fait une brèche dans le continuum espace temps de l'univers star trek. Devant un film aussi absurde, il ne restait que la musique de Michael Giacchino à apprécier.
A force de vouloir épater le spectateur, Abrams va trop loin dans l'incroyable (ce que je reprochais à "Alias").

[Forrester]

Pourquoi reprocher à Star Trek (pas vu le dernier en date) ce qu'on ne reproche pas à la franchise des James Bond?

[Patrick59]

Justement, cela m'a rappelé l'aston martin de Goldfinger que Bond et M utilisent dans le dernier opus "Skyfall", même problème que star trek into darkness.

[BAF]

Je ne suis absolument pas un Trekkie, aussi ai-je apprécié le premier volet de Abrams qui, d'une manière astucieuse, parvient à rebooter la franchise tout en gardant un lien avec les précédents films. Comme cela tout le monde s'y retrouve.

[Sam Lowry]

Hé mais Sam ??? T'as trois têtes maintenant !!!!

Oui. Celle du milieu me sert désormais de ventouse. Pratique.

[Misquamacus]

"The Last Exorcist part 2" : Voila un film où il ne se passe pratiquement rien. Idéal pour trouver le sommeil. L'affiche est marrante. Au moins ça.
"Playback" : Petite série B routinière qui a le mérite de rester sérieuse jusqu'au bout. Vu et aussi vite oublié.
(On parle de quoi déjà ?)
"The Dictator" : WTF ?!? Un film "autre".
"The Call" : Mouais... Suspens sympa au début mais le scénario ne tient pas la route et à la fin ça devient carrément n'importe quoi.

[DarkCat]

Enfin vu Kick-Ass, et j'ai vraiment bien aimé. J'ai autrement plus apprécié ce film de super-héros, que les X-Men et autre Spiderman.
Et en plus, le personnage de Hit-Girl est vraiment excellent... un Batman/Punisher au féminin. Chouette !
Vivement la suite !

[Patrick59]

J'ai vu la bande annonce de Kick ass 2 et cela ne me dit rien. Le prochain film que j'irai voir ce sera Epsylon. Il n'y a rien d'attrayant avant (Evil dead, Iron Man3, Star Trek et Superman étaient mes films attendus, les autres étant pour la fin d'année Carrie et surtout le Hobbit).

[Scorebob]

Enfin vu Kick-Ass, et j'ai vraiment bien aimé. J'ai autrement plus apprécié ce film de super-héros, que les X-Men et autre Spiderman.
Et en plus, le personnage de Hit-Girl est vraiment excellent... un Batman/Punisher au féminin. Chouette !
Vivement la suite !

Perso j'avoue avoir été troublé par la violence inouïes pratiquée ou subie par "la petite fille" dans le film, j'ai du mal a associer cette jolie frimousse à un tel déchaînement de violence, même Tarantino dans Kill Bill avait utilisé le biais du dessin animé pour "atténuer" l'enfance plutôt perturbée de la vipère assassine Japonaise.
En général je n'aime pas voir des enfants jouer ce genre de rôle ou être exposés à des scènes de violence ou de terreur extrême dans un film, je trouve cela profondément malsain.

[DarkCat]

Je comprends ton point de vue, Scorebob. Pour ma part, je suis plus dérangé par le rôle des enfants dans "Big City", ou même carrément par les concours, réels ceux-là, de mini miss ultra sexualisées.

[Misquamacus]

Il y a des bonnes idées, c'est indéniable dans ce "VHS". Peu de moyen, on compense donc par l'histoire. Ensuite vaut mieux pas avoir mangé un truc lourd avant... Ou bu trop de rosé. Le Found Footage pour du film à sketchs, j'suis pas sûr... Burp !

[Misquamacus]

"Under the Bed" : Vendu comme "un hommage aux films des années 80, de Dante, à Spielbreg", ce film est bien évidemment une arnaque. Il y a un monstre sous le lit, deux frères que personne n'écoute vont devoir convaincre un monde incrédule que le cauchemar a déjà commencé. Bin non, même pas. Scenario totalement incohérent, cette petite série B oublie tout ce qui faisait le sel des productions "Amblin" (Au contraire de "Super 8" et surtout "The Hole") Débauche gore inutile au bout de 70mn (sur 1h20 de durée) "Under the Bed" n'est ABSOLUMENT pas fun et reste tristement sérieux (bien que risible) du début à la fin. Pas conseillé donc.

[Lee Van Cleef]

Le vieux Van Cleef serait un fieffé gibier de potence s'il disait ne pas aimer le genre auquel il doit sa légende. N'empêche que la découverte sur le tard de titres réputés pour appartenir à la fine fleur du western italien a souvent fait passer votre squelettique serviteur par de tristes états, allant d'un vague désappointement à la déception mortifiante. Tempo di Massacro de Lucio Fulci, Il Grande Duello (et pourtant j'y figure, dans celui-là !), Texas, Addio... A cette liste non exhaustive des victimes de la dithyrambe, je peux rajouter aujourd'hui Quella Sporca Storia nel West, alias Johnny Hamlet (ou Django Porte sa Croix dans notre beau pays), réalisé par le robuste Enzo G. Castellari. Evidemment, le DVD ne présentant que la version originale sous-titrée dans la langue de la Cicciolina, il est probable que les hypothétiques subtilités du dialogue m'aient échappé. Mais je ne vois pas comment elles auraient pu à elles seules empêcher le film, pourtant excellent dans sa première demi-heure, de se déliter peu à peu. Et inutile de compter sur les scènes d'action, péché mignon d'un Castellari qui les étire comme un interminable ruban de caramel, pour insuffler à la quête vengeresse du héros un regain d'intérêt.

[DarkCat]

Lee, je comprends ton désarroi, mais sache qu'il n'est rien face au mien !!
Je viens en effet de voir "Boule et Bill", un film jamais drôle qui au final n'a que peu de lien avec la BD.
Le seul point positif pourrait être de nous faire croire, à la fin, qu'il s'agit en fait de la vie de Roba. L'idée n'est pas si mauvaise, si elle n'était pas si mal exploitée.
Surtout que le film démarre en 1976... alors que l'auteur a créé ses personnages en 1959.
Et je ne parle même pas du gamin inexistant et surtout du chien qui s’avère parfois plus inspiré de Rantanplan que de Bill.
Bref, une nouvelle bouse.