A la mémoire de...

[BarryTheBest]

Le 30 janvier 2011 disparaissait John Barry, difficile d'imaginer le monde de la BO quand il n'y a plus Sa sensibilité, Ses mélodies à la séduction intemporelle, Son romantisme lyrique...l'artiste nous manque, le Maitre nous manque. Triste anniversaire.

[BarryTheBest]

Un tres beau documentaire de la BBC (daté de 1998) retrace sa vie, son oeuvre par le biais des souvenirs du compositeur:

[Alien7]

Pendant qu'on y est, je viens d'apprendre le décès du compositeur anglais David Whitaker, décédé le 11 janvier dernier ! Triste nouvelle aussi.
Pour rappel, Whitaker a participé pendant longtemps aux arrangements/orchestrations des Rolling Stones ainsi qu'une pléiade de stars de la chanson
et de groupes dans les années 60 (Air, Eurythmics, Kings of Convenience et beaucoup de chanteurs français comme Bénabar, Etienne Daho, France Gall, etc.).
Niveau musique de film, on lui doit plusieurs partitions pour la Hammer dans les années 70 et, dans les années 80, un très bon score pour le nanar d'heroic-fantasy
THE SWORD AND THE SORCERER (un peu malmenée par une interprétation approximative de l'orchestre) et pour deux films français de Dominik Moll : le très Herrmannien
HARRY UN AMI QUI VOUS VEUT DU BIEN en 2000 et LEMMING en 2005.

[Scorebob]

John Barry etait un grand nom de la musique de film, à l'instar de Jerry Goldsmith son style a marqué d'une empreinte indélébile le cinéma du 20 ème siècle. OUT OF AFRICA reste un thème mémorable, que dis je Un Classique!

[Mortimer]

Triste anniversaire ! M’en vais écouter son Somewhere in Time pour l’occasion.

[Wyatt Earp]

Mon préféré...

[BarryTheBest]

Triste anniversaire ! M’en vais écouter son Somewhere in Time pour l’occasion.

La aussi il faudrait qu'un jour un éditeur nous sorte le score originale de cette BO et complet !

[Lee Van Cleef]

S'il m'observe de là-haut, ou de quelque autre endroit fabuleux qu'il puisse désormais présider, feu John serait probablement suffoqué par tant d'abjection couarde de ma part. Mais après tout, puisqu'il ne peut désormais plus vitupérer de vive voix à ce propos, je propose que nous sortions Howard the Duck de la léproserie où son géniteur l'a propulsé sans ménagement. L'occasion de constater que, par-delà les multiples quolibets dont cette musique a souvent été victime, le résultat recèle tout de même quelques trucs pas mauvais du tout, ma foi.