Alcibiade a écrit : ↑mar. 5 sept. 2023 20:53Triste nouvelle ! Et je n'en reviens toujours pas de sa partition soignée et virtuose pour le "Crime de l'orient-express" (que j'avais grandement sous-estimée à la première écoute) pour un film en définitive très quelconque (voire franchement mauvais) en comparaison du Sidney Lumet.
En attendant, les critiques sociétales (les bruissements du net) du score de ce Hildur Guðnadóttir (voilà un nom à retenir, rien que pour pouvoir le prononcer et l'écrire) sont élogieuses, et le film de Branagh récolte les mêmes dithyrambes. On nous dit "terrifiant, acteurs à la pointe, scénario machiavélique, décors stupéfiants, dialogues superbement troussés, etc.". Mouais....... je demande quand même à voir et à entendre, et niveau musique, je m'attends à des crissements métalliques éculés sur lesquels on peut entasser moults effets fonctionnels sans partition tenue. Mais l'avenir me donnera peut-être tort.
Visionnage et écoute de Hamlet. Un des tous premiers Doyle que j'écoute en entier. Déjà a l'image c'est très subtil et super intelligent dans son choix de quelle scène habiller ou pas. En écoute c'est un peu plus démonstratif tout de même, avec des thèmes vraiment remarquables, comme le beau thème d'amour ou celui plus guerrier pour Hamlet. On y ajoute quelques morceaux militaires enragés, des parties solistes torturées et des fanfares royales et on obtient une merveilleuse BO comme on en fait rarement
(Je ne serais pas contre tout de même une version Deluxe avec une qualité sonore rehaussée)
Je te conseille vivement "Much ado about nothing" de Brannagh également. Rien que l'ouverture du film c'est grandiose. La collaboration Doyle / Brannaghde cette époque etait vraiment parfaite.
Ballanmire a écrit : ↑ven. 13 juin 2025 01:05
Je te conseille vivement "Much ado about nothing" de Brannagh également. Rien que l'ouverture du film c'est grandiose. La collaboration Doyle / Brannaghde cette époque etait vraiment parfaite.
C'est pratique c'est le seul autre Branagh/Doyle shakespearien que j'ai vu, j'ai juste à l'écouter.
Sam Lowry a écrit : ↑ven. 13 juin 2025 07:50
Je crois qu'on peut tout conseiller de la collaboration Doyle / Branagh.
Ah oui ? Même Jack Ryan: Shadow Recruit ?
J'en ait déjà vu pas mal mais assez peu de leurs premiers films. Et j'ai quasiment rien écouter en plus. C'est ce que je suis en train d'essayer de remédier.
Tu n'es pas non plus obligé de te farcir Thor et son marteau magique (film et musique), mais ce n'est que mon avis.
Par contre, si tu cherches un beau score plus reposant et d'esprit "classique", As you like it mérite son titre (le film, peut-être, est moins convainquant, mais il faudrait que je le revoie).
Un grands moment de Doyle c'est aussi Needfull things d'après Stephen King qui lorgne avec talent sur la Malédiction de Goldsmith l'humour en plus , ou la légèreté si vous voulez plus Italienne des choeurs.
Dadid a écrit : ↑ven. 13 juin 2025 10:49
Tu n'es pas non plus obligé de te farcir Thor et son marteau magique (film et musique), mais ce n'est que mon avis.
Tu t'attends sérieusement à ce que moi, le MCU-zouze de ce forum, je n'ai pas déjà vu plusieurs fois Thor et écouté la BO ?
Ballanmire a écrit : ↑ven. 13 juin 2025 01:05
Je te conseille vivement "Much ado about nothing" de Brannagh également. Rien que l'ouverture du film c'est grandiose. La collaboration Doyle / Brannaghde cette époque etait vraiment parfaite.
Euh... voici les images... si cela donne pas envie de voir le film...
Haricolin a écrit : ↑ven. 13 juin 2025 13:20
Tu t'attends sérieusement à ce que moi, le MCU-zouze de ce forum, je n'ai pas déjà vu plusieurs fois Thor et écouté la BO ?
Ah oui c'est vrai, parfait, les pouvoirs de Mjølnir n'ont donc aucun secret pour toi. Perso je me suis largement calmé sur les Marvel passé mes BD de jeunesse, j'attends donc ton avis sur le film, qui véhiculait une image shakespearienne - seulement du fait de la présence de Branagh ? De même que l'Araignée est un être bien singulier, les critiques sont parfois des êtres bien simplets: quand on leur donne un os à ronger ils l'avalent entier. Mais les échos de la musique parvenus à mes oreilles, malgré Doyle, ne m'avaient pas donné ce sentiment.