Patrick59 a écrit : ↑jeu. 21 déc. 2023 18:06Bon méa culpa, surpris au départ, je reconnais aujourd'hui prendre beaucoup de plaisir à l'écoute de "Tess", mis deux fois cet après midi. Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, Je ne regrette donc pas mon achat.
La collection des Introuvables est ma préférée et celle que j’attends le plus avec impatience chaque début d’année. Super content pour les deux films de Coggio, que bizarrement j’ai réécouté sur YT il y a qq mois.
S'il existe un moyen plus revigorant de débuter l'an flambant neuf que de voir scintiller au firmament des étals esthètes le dernier volume des B.O. Introuvables, alors nom d'un katana à lame en bec d'aigle, qu'on le porte sur-le-champ à ma connaissance ! Fidèle à la ligne de conduite quelque peu zigzagante de ses prédécesseurs, entre thématiques ostentatoires et vide-grenier truffé d'imprévus, le numéro 7 offre à boire et à manger. Les pas frileux, dont le vieux Van Cleef se flatte de faire partie, s'empiffreront donc de fantaisies en costumes peut-être pas si bouffonnes qu'elles en ont l'air, d'un triptyque Jean Musy à l'humeur apparemment folâtre et, bien sûr, d'une paire des polars dorénavant incontournables que le cinéma français usinait à la pelle dans les merveilleuses années 80. Festivités rien de moins que priapiques en prévision !
Pour le moment j'ai pris le coffret. Objet indispensable pour moi. Le cd d'Alexei Aigui je le prendrais une prochaine fois. Les extraits sont assez convaincants. Mais je ne connais aucun film.
J'ai reçu le coffret hier et en pleine écoute du premier CD. Très classique par moments, l'ensemble ne manque pas de charme.
A noter une "messe noire" dans le deuxième score du cd 1, pas piqué des hannetons . Et vas-y que je t'invoque Astaroth
Mortimer a écrit : ↑sam. 20 janv. 2024 17:15A noter une "messe noire" dans le deuxième score du cd 1, pas piqué des hannetons . Et vas-y que je t'invoque Astaroth
"On m'a sonné ? Me voici, chétifs mortels !
— Heu... Nan, ça ira, vot' Putrescence, on a besoin de rien !"
Les musiques de Karl-Heinz Schäfer du CD 2 sont juste magnifiques. Au début, le score s'oriente plus vers l'Argentine avec l'appui d'un bandonéon. Quand le saxophone prend le relais on entre plus dans un coté jazzy. La suite est entre musique mystérieuse, et une musique de polar parfois limite atonale. Beaucoup de cordes, avec de temps à autre un harmonica et toujours le saxophone. Et l'envoûtante voix féminine omniprésente. C'est étonnant, j'avais vu ces deux films à l'époque et pourtant, la musique ne m'avait pas spécialement marquée.
Je vais écouter ça ce soir. Je l’ai trouvé chez Gibert. J’ai déjà mis Scapin entre les oreilles et la tarentelle que je connaissais m’a rappelé des souvenirs.
Ce n'est apparemment pas sorti sous label Music Box, mais je ne l'ai vu que là-bas et il ne me semble pas avoir vu d'annonce : l'intégrale 3 CD de la musique de la série Missions par Etienne Forget : https://www.musicbox-records.com/fr/cd- ... asons.html
Merci pour cette bonne nouvelle, que je n'avais pas encore croisée.
Pour rappel : Saison 1, Saison 2 et Saison 3.
La sortie de ce nouveau coffret est donc l'occasion idéale... pour préférer investir ses sous dans le coffret "Tales Of A Forest, A Lake And The Sleeping Giants" de Panu Aaltio.
Je viens par ailleurs d'apprendre que c'est Jean-François Richet (le réal de L'Empereur de Paris) qui a été choisi par Stallone pour réaliser cet été Cliffhanger 2. Avec un peu de chance, c'est peut-être l'ami Beltrami qui s'occupera du score....
Bmcready a écrit : ↑lun. 18 mars 2024 17:24
c'est Jean-François Richet (le réal de L'Empereur de Paris) qui a été choisi par Stallone pour réaliser cet été Cliffhanger 2.
Cool pour Richet ! Stallone ressemble tant à un vieux roc trapu fissuré de partout, désormais, qu'on aura du mal à le distinguer de la montagne... Entre deux exploits numériques, il va pouvoir nous refaire son numéro de vieille baderne alcoolo qui veut oublier et passer le relai.
Cliffhanger deuxième du nom ? Il me déconcerterait au dernier degré que Sly soit encore de taille à se risquer à une athlétique varappe en combinaison légère et moulante, quand bien même notre Étalon parcheminé ne se cramponnerait qu'à des rocs en polystyrène disséminés dans l'écrin douillettement chauffé d'un polygone de fonds verts. En revanche, je dirais banco si la logique d'émulation "silvestrienne", à l'oeuvre de façon plus qu'audible dans la partition de Trevor Jones pour le premier film, était poussée à son paroxysme et entraînait l'embauche du vigneron musclé... Et sinon, l'occasion faisant le larron, voici un modeste souhait personnel : vivement Cobra 2 !