Polaris a écrit : ↑dim. 3 mars 2024 21:28
Mes parents m'interdisent de m'aventurer dans de tels endroits et de parler avec de tels inconnus. Ils sont aux aguets. De plus, je n'ai pas la permission de 21h le dimanche.
Ne te méprends pas, Dadid, j'ai aussi trouvé ce doc intéressant. Je me doutais bien que nous n'aurions pas droit à un truc hyper complet en 50 mn. Les archives avec les compositeurs "anciens" étaient la cerise sur le gâteau. J'aurai juste préféré qu'il dégage les Teutons récents, pour mettre d'autres compositeurs. Le doc aurait donc dû se nommer "Les pionniers de la musique de film: Le son de l'Europe germanophone pour Hollywood".
Mais bon, je ne critique pas vraiment, étant un client fidèle d'Arte.
Facebook ou Meta est en panne. Pour ceux qui s'inquiètent. Ne pouvant plus m'y connecter, j'ai d'abord pensé qu'ils m'avaient viré avant d'aller à la pêche aux renseignements
Et attention, les choses n'ont pas été faites à moitié : panne mondiale, s'il vous plait ! Des palpitants vont flancher, et en pantagruéliques quantités, dans le bienheureux intervalle de temps qui nous sépare de la résurrection hélas inéluctable du Moloch aux mille et un visages.
Jean-Pierre Bourtayre est mort et, entre Sardou, Dutronc et Cloclo, il a surtout pour ma part été le compositeur de cette magnifique adaptation de René Laloux de "L'orphelin de Perdide" de Stefan Wul, à savoir "Les maîtres du temps" dont le générique de fin résonnera à jamais dans l'espace intersidéral de l'embaumement sacré
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On part de Steiner, Korngold et Waxman (heu... il n'y a pas comme qui dirait des absents ? Rozsa ?) pour arriver à Djawadi et Zimmer. Je ne pense pas que ce soit le but du documentaire, mais il permet de bien sentir l’effondrement musical. Ou comment l'Humanité est passée de "Sea Hawk" à "Dune" !
Pas mieux. Le chat ne dit pas toujours que des conneries. Ou alors, les mêmes que les miennes...
Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru. (Pierre DAC)
Un instant j'ai cru que c'était un extrait d'un docu expliquant comment Zimmy créeait des sons complexes pour la partition de Dune , non, en fait c'est juste un Wookie melomane qui a écouté Dune .
J'ai essayé de remplacer le tabouret par la tête de Zimmy mais je n'y suis pas arrivé.
Non, mais quand même, sans blague.... Zim se fiche du monde. Il a fait encore pire que sur le premier film (je ne pensais pas ça possible...)
Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru. (Pierre DAC)
Ce passage de "Facebook en panne" au "wookie furieux" à "Zimmer, le re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-re-retour" m'a laissé perplexe, mais bon, c'est "fourre-tout", quoi !
Alcibiade a écrit : ↑mar. 5 mars 2024 22:22Jean-Pierre Bourtayre est mort et, entre Sardou, Dutronc et Cloclo, il a surtout pour ma part été le compositeur de cette magnifique adaptation de René Laloux de "L'orphelin de Perdide" de Stefan Wul, à savoir "Les maîtres du temps" dont le générique de fin résonnera à jamais dans l'espace intersidéral de l'embaumement sacré
Dans l'hypothèse où un locataire d'UnderScores, gisant dans la visqueuse étreinte des tentacules de la déréliction, étancherait sa soif morbide en ouvrant dans la section cinéma un fil dédié aux plus mémorables obsèques jamais engendrées par l'écran, ne doutons point que le merveilleux épilogue (yeux emperlés, gorge serrée et tout le tremblement) des Maîtres du Temps y tiendrait le haut du pavé. Et la musique de feu Bourtayre pourrait en toute justice se targuer d'avoir joué un rôle prépondérant dans cet essor irrésistible vers la gloire.
RTL a rendu un hommage à Jean-Pierre Bourtayre dans son "RTL Bonsoir", de 18 à 20 heures. C'est à 12'10.
La présentatrice commence par l'appeler "Pierre".
Évidemment, c'est juste pitoyable. Mais que pouvait-on attendre d'autres.
DarkCat a écrit : ↑dim. 10 mars 2024 21:40
Et hop, une série d'émissions sur la musique de films diffusée en 2018 sur France Culture. Faire genre : musique et cinéma.
Je viens d'écouter Music to be Murdered By. C'est assez surprenant comme album mais pourtant ça fonctionne vraiment bien. Les parties parlées par Hitchcock sont très droles et délicieusement écrite et dites avec une voix parfaite. Et la musique d'Alexander est franchement très sympathique, qui alterne entre suspense, jazz et morceaux plus classiques. Les deux se combinent bien et l'album bien que très étrange est très chouette