
John Scott
Re: John Scott
Je l'ai ce Symptoms
. J'en avais d'ailleurs parlé quand je l'avais reçu. J'aime beaucoup !

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Re: John Scott
Cool
! J'avais regardé sur ce topic mais pas ailleurs. Et effectivement, le livret est un poil trop grand.

Re: John Scott
Certains titres JOS Records sont à nouveau disponibles chez Screen Archives. Avis aux amateurs car il a peu d'exemplaires.
Re: John Scott
Je recommande chaudement SHERGAR et Anthony and Cleopatra (sublime score).
Re: John Scott
Bien joué les gars ! Il me manquait Shergar, score qui à défaut de surprendre - c'est rare chez Scott - semble concentrer beaucoup de ses qualités. Ce manque est désormais résolu (enfin, pas tant que je ne l'ai pas reçu effectivement, en espérant que la douane ne le choppe pas au passage) Ça doit bien faire dix ans que je ne commande plus chez Screen Archives : un petit rappel de mot de passe et hop! ça m'a fait rajeunir ! 

Re: John Scott
C'est tentant : je dois compléter ma collection grandissante de John Scott. Mais pas moyen d'entendre certains extraits.
Je retiens donc les incontournables comme Anthony..., et bien sûr, tout Cousteau à prendre sans discussion.
Certains me paraissent moyens : North Star, Time of the Wolf, et d'autres.
Mais quid de : Becoming Colette, The Scarlet Tunic, The Lucona Affair, William the Conqueror, The 2nd Jungle Book ?
Je retiens donc les incontournables comme Anthony..., et bien sûr, tout Cousteau à prendre sans discussion.
Certains me paraissent moyens : North Star, Time of the Wolf, et d'autres.
Mais quid de : Becoming Colette, The Scarlet Tunic, The Lucona Affair, William the Conqueror, The 2nd Jungle Book ?
Re: John Scott
Pour "North Star" il y a eu une édition française. Mais j'imagine qu'après presque 30 ans le CD doit être aussi compliqué à trouver.
Re: John Scott
Bon il y aussi ça mais Intrada ne c'est pas décidé a e rééditer:
- Edern
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Re: John Scott
Je ne connais pas tous les titres que tu as cités mais de mon côté j'aime vraiment beaucoup The North Star (dont j'ai l'édition CD française

C'est en premier lieu le générique de fin que j'adore, qui expose longuement le thème principal dans un arrangement puissant ; il s'agit des 4 premières minutes de cette vidéo :
J'aime aussi William The Conqueror mais je le trouve plus académique et moins mémorable.
![En écoute [cd]](./images/smilies/icon_cd.png)
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Re: John Scott
Effervescence olympique oblige, le Belem, vénérable trois-mâts et monument historique à lui seul, a vécu ces derniers jours sous les feux d'innombrables projecteurs. Pour le petit phalanstère des béophiles, le spectacle de sa fière étrave crevassant les flots spumeux fait aussitôt remonter des abysses, dans un éruptif bouillonnement de bulles, le souvenir de l'expédition Jules Verne à son bord. Parmi les vieux loups de mer aux joues gonflées par la chique que le maître d'oeuvre Jean-Christophe Jeauffre rameuta pour taquiner l'aventure, nul autre que John Scott, qui ressuscitait là, en quelque sorte, son passif d'héroïque mémoire auprès de Cousteau, autre grand et pacifique baroudeur des océans s'il en est. L'élégant britannique relate, de sa voix sereine et onctueuse, un voyage demeuré gravé dans sa mémoire. Et décoche, au passage, une fourbe pique à l'attention de nous autres, mangeurs de grenouilles !
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Re: John Scott
À le voir si souriant, heureux sans conteste face à son pupitre, faisant parmi les pierres vénérables d'Ubeda la démonstration d'un enthousiasme de jeune homme, nul ne subodorerait la relation un tantinet conflictuelle que John Scott entretient depuis belle lurette avec le majestueux Antony and Cleopatra. Des années durant, on le vit aimablement s'irriter de ce que la vox populi persiste à considérer cette œuvre de quasi-jeunesse comme son indépassable magnum opus. Car enfin, par la suite, met-il généralement un point d'honneur à rappeler, bien des titres majeurs virent le jour sous son égide — dires que les King Kong Lives, Greystoke, Shogun Mayeda, Lionheart, Il Mondo di Yor et autres The Shooting Party, de noble extraction, rendent fort malaisés à réfuter.
Il n'empêche : grâce à ce péplum crépusculaire à plus d'un égard, dont le four commercial expédia ad patres un genre qui se vidait déjà des dernières gouttes de son sang au seuil des seventies, Scott marqua son entrée dans la cour des grands symphonistes avec un mémorable fracas ; celui des rêves de conquête qui s'effondrent sur eux-mêmes et de l'inexorable fatalité jetant l'amour à bas. Tout, dans ce premier véritable morceau d'anthologie offert par Sire John, ressort des ciselures dramatiques les plus achevées, les plus précieusement finies, et d'un attrait à l'endroit des choses romanesques qu'aucun trémolo sirupeux n'est capable de prendre à revers. Un "coup d'essai" aussitôt métamorphosé en sublime aboutissement, chavirant de beauté à la première autant qu'à la quinzième écoute — un décompte que j'estime être assez proche du mien. N'en déplaise au compositeur un rien bougon sur la question, celle-ci mérite qu'on la pose à la cantonade : écrivit-il ultérieurement un Love Theme au moins aussi merveilleux que celui d'Antony and Cleopatra ?
Il n'empêche : grâce à ce péplum crépusculaire à plus d'un égard, dont le four commercial expédia ad patres un genre qui se vidait déjà des dernières gouttes de son sang au seuil des seventies, Scott marqua son entrée dans la cour des grands symphonistes avec un mémorable fracas ; celui des rêves de conquête qui s'effondrent sur eux-mêmes et de l'inexorable fatalité jetant l'amour à bas. Tout, dans ce premier véritable morceau d'anthologie offert par Sire John, ressort des ciselures dramatiques les plus achevées, les plus précieusement finies, et d'un attrait à l'endroit des choses romanesques qu'aucun trémolo sirupeux n'est capable de prendre à revers. Un "coup d'essai" aussitôt métamorphosé en sublime aboutissement, chavirant de beauté à la première autant qu'à la quinzième écoute — un décompte que j'estime être assez proche du mien. N'en déplaise au compositeur un rien bougon sur la question, celle-ci mérite qu'on la pose à la cantonade : écrivit-il ultérieurement un Love Theme au moins aussi merveilleux que celui d'Antony and Cleopatra ?
Re: John Scott
JOS records pas mort:
https://arksquare.net/detail.php?cdno=JSCD-120-2
C'est curieux ces rééditions au compte goutte.
https://arksquare.net/detail.php?cdno=JSCD-120-2
C'est curieux ces rééditions au compte goutte.
Re: John Scott
Je l'ai vu dans la newsletter de Screen Archives. Et la semaine dernière, le site m'avait déjà envoyé un code promo sur les JOS. J'en ai profité pour me prendre quelques titres qui me manquaient. Des titres souvent hors de prix sur Rakuten. Et ils sont déjà en France puisque j'ai payé la douane ce matin même sur le site de la Poste.
Re: John Scott
Un autre titre à droit à un petit lifting
- DarkCat
- Superman
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- Localisation : A 200 mètres après le stop.
Re: John Scott
Un habile mélange entre lifting et fisting ? 

- DarkCat
- Superman
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- Inscription : mer. 17 sept. 2008 15:00
- Localisation : A 200 mètres après le stop.
Re: John Scott
Plutôt Blake, cher Mortimer.
Re: John Scott
Et pourquoi cette remise à niveau ? Parce que Blake est d'équerre, évidemment.
Bon, oui, j'ai honte.
Bon, oui, j'ai honte.
Re: John Scott
Ce serait la bonne occase d'élargir le cercle de... mes CD John Scott.
Mais que valent A study in Terror, Far from Home ?
Je serais prêt, exceptionnellement, à faire un lot pour SAE, quitte à se grouper avec quelqu'un, mais quid des frais de douane ? (on peut déjà évaluer le port sur le site).
Vive John Scott !!
Mais que valent A study in Terror, Far from Home ?
Je serais prêt, exceptionnellement, à faire un lot pour SAE, quitte à se grouper avec quelqu'un, mais quid des frais de douane ? (on peut déjà évaluer le port sur le site).
Vive John Scott !!
Re: John Scott
Si je te dis Sherlock Holmes + Jack l'éventreur, tu auras compris l'ambiance.
(Le son est pourri sur la vidéo, ce n'est pas la son du disques)
(Le son est pourri sur la vidéo, ce n'est pas la son du disques)
Re: John Scott
John Scott
Quel compositeur! Je chéris chaque cd que j'ai eu la chance de récupérer depuis 2 décennies. Heureux que vous puissiez accéder de nouveau à plusieurs de ses titres. Sachant qu'à une époque, ses disques étaient défectueux et avaient nécessité une procédure lourde mais faisable de remplacement.
Et surtout, l'homme est profondément humaniste, avenant et d'une gentillesse rien qu'avec son sourire. Quel bol de l'avoir rencontré![Love [love]](./images/smilies/icon_heart.gif)
Quel compositeur! Je chéris chaque cd que j'ai eu la chance de récupérer depuis 2 décennies. Heureux que vous puissiez accéder de nouveau à plusieurs de ses titres. Sachant qu'à une époque, ses disques étaient défectueux et avaient nécessité une procédure lourde mais faisable de remplacement.
Et surtout, l'homme est profondément humaniste, avenant et d'une gentillesse rien qu'avec son sourire. Quel bol de l'avoir rencontré
![Love [love]](./images/smilies/icon_heart.gif)
- Ratatouille
- Cinderella Man
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- Inscription : mar. 31 janv. 2012 14:38
- Localisation : La bibliothèque
Re: John Scott
Autant le film est une épreuve pour le voir (oui... je le déteste) autant Greystoke est un diamant musical... y-a-t-il plus de musique dans le film que ce qui nous a toujours été proposé ?
Et si oui... ça bloque à cause de quoi ?
D'ailleurs je n'ai jamais compris pourquoi le morceau OVERTURE ce trouve en avant dernière piste ? Peut-être par rapport à la gravure des vynils ?
Je rajoute son King Kong... (petit clin d'oeil à Holst)
...son Final Countdown...
et son incroyable Shoot to Kill...
Allez... je m'arrête pour aujourd'hui...
"Qui plus quam cubantem piis foveamus amplexibus male"
Et si oui... ça bloque à cause de quoi ?
D'ailleurs je n'ai jamais compris pourquoi le morceau OVERTURE ce trouve en avant dernière piste ? Peut-être par rapport à la gravure des vynils ?
Je rajoute son King Kong... (petit clin d'oeil à Holst)
...son Final Countdown...
et son incroyable Shoot to Kill...
Allez... je m'arrête pour aujourd'hui...
"Qui plus quam cubantem piis foveamus amplexibus male"
Re: John Scott
Ratatouille a écrit : ↑jeu. 20 mars 2025 17:24 Autant le film est une épreuve pour le voir (oui... je le déteste) autant Greystoke est un diamant musical... y-a-t-il plus de musique dans le film que ce qui nous a toujours été proposé ?
Et si oui... ça bloque à cause de quoi ?
D'ailleurs je n'ai jamais compris pourquoi le morceau OVERTURE ce trouve en avant dernière piste ? Peut-être par rapport à la gravure des vynils ?

Pour te répondre, l'Ouverture (réellement jouée au ciné avant le début du film quand je l'ai vu à sa sortie au Kinopanorama - mon premier film dans cette salle défunte) est un ajout bonus sur le CD, tiré d'un DVD ou autre, absent du LP. "The Family", qui sert d'ouverture sur le LP, est de mémoire le générique de fin. Et, oui, il y a plus de bonne musique dans le film, et pourtant, il me semble que John Scott - fâché par son expérience sur le film - montre peu d'intérêt pour cette B.O. Ceci dit, le programme du LP en fit un des plus beaux albums d'une époque - la décennie post-Star Wars - qui en comporta beaucoup, les compositeurs se voyant à nouveau nantis d'un grand orchestre et surtout d'une mise en valeur narrative et sonore quasi opératique dans le film. Mais ça tu le sais déjà.
