
Même les éditions rares de nos Labels n'ont jamais atteint ce tarif (sauf Cherry 2000 Varèse Club en son temps sur Ebay et aux enchères).
Tears in Rain: Forsaken Themes from Fantastic Films : c'est l'archétype du titre un peu évasif pouvant abriter potentiellement tout et n'importe quoi. A lui seul, le score finalement évincé du groupe Coil pour Hellraiser ferait office d'éloquent justificatif, truffé de curieux bricolages qui ne se donnent jamais la peine d'être aimables et auxquels Clive Barker accola en son temps les mots "bowel churning" — quant à savoir s'il s'agit d'un compliment pour le moins original ou d'une invective montée du tréfonds de ses boyaux... Avec Blade Runner ouvrant le programme, la sélection mitonnée par Perseverance n'a, en revanche, pas grand-chose de "forsaken". Ce n'est évidemment pas une raison de faire la fine bouche, d'autant que cette longue suite jouée par le Danish National Symphony Orchestra peut s'enorgueillir d'un petit caractère bien à elle. Les synthés font certes profil bas, mais les choeurs, en faisant le pari d'une élégance éthérée plutôt que de s'égosiller à pleins postillons, véhiculent une plus-value qu'il serait malheureux de snober.Scorebob a écrit :Perséverance records pas mort ?
Tracklisting et extraits ici:Lee Van Cleef a écrit :Tears in Rain: Forsaken Themes from Fantastic Films : c'est l'archétype du titre un peu évasif pouvant abriter potentiellement tout et n'importe quoi. A lui seul, le score finalement évincé du groupe Coil pour Hellraiser ferait office d'éloquent justificatif, truffé de curieux bricolages qui ne se donnent jamais la peine d'être aimables et auxquels Clive Barker accola en son temps les mots "bowel churning" — quant à savoir s'il s'agit d'un compliment pour le moins original ou d'une invective montée du tréfonds de ses boyaux... Avec Blade Runner ouvrant le programme, la sélection mitonnée par Perseverance n'a, en revanche, pas grand-chose de "forsaken". Ce n'est évidemment pas une raison de faire la fine bouche, d'autant que cette longue suite jouée par le Danish National Symphony Orchestra peut s'enorgueillir d'un petit caractère bien à elle. Les synthés font certes profil bas, mais les choeurs, en faisant le pari d'une élégance éthérée plutôt que de s'égosiller à pleins postillons, véhiculent une plus-value qu'il serait malheureux de snober.Scorebob a écrit :Perséverance records pas mort ?
MP envoyéLee Van Cleef a écrit :Je dois reconnaître que notre Bobby-Boy a réussi à chatouiller ma curiosité. Un petit aperçu de son ouvrage, rien que pour mes yeux à l'éclat dur de silex, ne serait assurément pas de refus.