Pendant que le mâle oppresseur et dominateur écoute de la musique de films, confortablement installé sur son fauteuil, la pauvre femme est ravalée au rang de simple maîtresse de maison. Sous le joug du patriarcat blanc binaire, la femme, dépossédée de son libre-arbitre par des milliers d'années d'oppression, est obligée de faire la popote pour son mari. La pauvre doit simplement se contenter d'écouter le bruit de la cocote-minute et de l'épluche-légumes, n'ayant pas le temps d'écouter de la musique de film,
Triste monde. A bas l'oppression !
DarkCat a écrit :La pauvre doit simplement se contenter d'écouter le bruit de la cocote-minute et de l'épluche-légumes
Forcément ! Quand on sait que ces donzelles s'entêtent à ne s'infliger que l'écoute exclusive du Zimmeroïde et de ses pendards semblablement mélodieux... Z'ont qu'à se taper une bonne louche de Piero Umiliani à la place, ça leur râpera moins l'esgourde.