Version plus réaliste, malheureusement : Vive le Québec ivre!Dadid a écrit :Vive le Québec libre !

Version plus réaliste, malheureusement : Vive le Québec ivre!Dadid a écrit :Vive le Québec libre !
The Valley of Gwangi s'avère, puisqu'il faut quand-même en faire la critique, très redondant par rapport à son The Big Country. Un Moross en mode "autopilote" sur un film qui ne l'a pas plus enthousiasmé que ça... Je continue de préférer un Michael Giacchino passionné à sa tâche...Lee Van Cleef a écrit :Pour le Cancre et une palanquée d'autres béophiles que les reliques du passé hérissent, la régalade estivale avec des dinosaures croquant du bipède hurlant s'appelle Jurassic World : Fallen Kingdom. Pour le vieux Van Cleef, dont l'incurable snobisme entraînera un jour sa perte, cette récréation bardée d'écailles a pour titre The Valley of Gwangi et jaillit tout droit du crépuscule des sixties. Très inspiré par un sujet qui ne lui tira pourtant que des grimaces de dédain, Jerome Moross célèbres les noces du film de monstres géants et du western (sa tasse de thé, ô ! combien) avec une admirable force d'évocation. Le dénommé Gwangi, bestiau vedette, plus titanesque que tous ses congénères et mauvais comme une teigne, claque des mâchoires et rugit d'importance sur fond de violents martèlements des cuivres, qui font fichtrement plaisir à entendre. Pas facile de succéder à Bernard Herrmann sur la fantasy bondée d'effets spéciaux selon Ray Harryhausen, mais Moross, s'il n'a jamais la prétention de réinventer quoi que ce soit, s'en tire avec bien plus que les honneurs.
Restant sur l'indétrônable (du moins dans mon coeur) MiGia, mon coup de battant du jour réside en la fraîcheur et la vivacité de la mélodie thématique développée pour l'Homme-Araignée de retour chez lui, à savoir le bien-nommé Spider-Man: Homecoming de Michael Giacchino.Lee Van Cleef a écrit :Pour le Cancre et une palanquée d'autres béophiles que les reliques du passé hérissent, la régalade estivale avec des dinosaures croquant du bipède hurlant s'appelle Jurassic World : Fallen Kingdom. Pour le vieux Van Cleef, dont l'incurable snobisme entraînera un jour sa perte, cette récréation bardée d'écailles a pour titre The Valley of Gwangi et jaillit tout droit du crépuscule des sixties. Très inspiré par un sujet qui ne lui tira pourtant que des grimaces de dédain, Jerome Moross célèbres les noces du film de monstres géants et du western (sa tasse de thé, ô ! combien) avec une admirable force d'évocation. Le dénommé Gwangi, bestiau vedette, plus titanesque que tous ses congénères et mauvais comme une teigne, claque des mâchoires et rugit d'importance sur fond de violents martèlements des cuivres, qui font fichtrement plaisir à entendre. Pas facile de succéder à Bernard Herrmann sur la fantasy bondée d'effets spéciaux selon Ray Harryhausen, mais Moross, s'il n'a jamais la prétention de réinventer quoi que ce soit, s'en tire avec bien plus que les honneurs.
J'ai enfin compris ! Ce cryptique et sans queue ni tête "MiGia" est en fait le nom de code secret, l'ingénieux acronyme du dernier épisode de Mission : Impossible ! Vingt sur vingt, avec de surcroît les félicitation d'un jury pétrifié d'admiration, pour le vieux Van Cleef !Citizen Cancre a écrit :Restant sur l'indétrônable (du moins dans mon coeur) MiGia