Tout comme toi, j'attends le doublé Yared/hommage à Spielberg avec plaisir.

Plutôt l'effet "Hey, regardez, c'est le mec qui a fait les Batman en binôme avec Zimmer", dirais-je d'un air sombre et renfrogné.ChefBrody a écrit :Par contre quelle surprise de voir autant de monde au concert de JNH, le public a multiplié les standing ovations! Dingue!! L'effet Hunger Games ?
Oui mais on a tout de même eu droit à une belle tranche angoissante de Poltergeist, pas seulement la comptine, ce n'est pas commun ! Pour le reste bien d'accord, "Le pont..." n'était utile qu'en tant que petite pause avant IJ. Les vidéos apportent rarement grand chose, mais c'est même plus ennuyeux que ça, musicalement elles contraignent le chef à un tempo voire à des rattrapages de tempo parfois audibles et qui peuvent mettre l'orchestre dans le jus, surtout sur une musique comme le Scherzo for motorcycle & orchestra déjà difficile à tenir (il était d'ailleurs jouée plutôt lentement, à cause du clip ou non je n'en sais rien).Ballanmire a écrit :Quel bonheur d'entendre pour la première fois en concert une suite de BTTF qui plus est avec le thème très Bernstein du 3... les cuivres avaient un tel impact ! Grosse émotion avec la suite de Super 8 de Giacchino (une première pour moi également en concert). Même si je peste toujours contre les montages vidéos hasardeux (faute d'avoir les droits il faudrait mieux ne rien mettre à l'écran...) je dois avouer que le montage pour le film de JJ avait le mérite de se concentrer sur le jeune héros et ses tourments (sa mère, la jeune Elle Fanning, ...) rendant cette suite très émouvante (...) Seul bémol sur ce programme au final, Le pont des Espions de Newman déjà, en ce qui me concerne, très ennuyeux... alors en concert franchement inutile. Fort heureusement ce ne fut pas long.
Comme toujours avec ce type de concert grand public, on regrette de ne pas avoir plus de prise de risque (j'aurais préféré Jaws 2 et The Lost World) mais ne boudons pas notre plaisir.
Pareil. Lost World j'aurais adoré. Je l'avais entendu l'année dernière au grand Rex, c'était excellent. On peut d'ailleurs voir la rediffusion de ce concert sur youtube :Ballanmire a écrit : Comme toujours avec ce type de concert grand public, on regrette de ne pas avoir plus de prise de risque (j'aurais préféré Jaws 2 et The Lost World)
J'aurais dû m'en douter !Julien a écrit :A un moment, je ne sais pas si vous avez entendu le mec hué à la fin du morceau d'Indy 4. C'était moi.
C'est que j'aurais voulu la Desert Chase de l'Arche Perdue à la place ! Honnêtement entre nous, ça aurait eu quand même plus de classe. En plus, en terme de mise en scène, c'est la meilleure séquence du film. (Et la seule que Spielberg n'a pas réalisé lui-même d'ailleurs)Dadid a écrit :J'aurais dû m'en douter !Julien a écrit :A un moment, je ne sais pas si vous avez entendu le mec hué à la fin du morceau d'Indy 4. C'était moi.Oh je te rassure tout le monde t'a entendu ! Je me suis d'ailleurs demandé si ça s'adressait au choix du film (qui n'est pas terrible), parce que le thème de Mutt on en pense ce qu'on veut mais bon de là à huer un orchestre qui le joue sur scène, je ne comprends pas très bien...
Et je te rassure, ça se fait même lorsqu'un chef d'état rend hommage à un rocker national !Dadid a écrit :remarque, il y a un siècle, on huait très facilement au concert ou au théâtre, et c'est encore le cas par exemple à la scala !)
Il m'est déjà arrivé de penser que Catherine Ringer, si Williams et Spielberg avaient eu l'idée lumineuse de requérir ses bons offices vocaux, aurait fait dans The Adventures of Tintin une ébouriffante Castafiore. Est-il besoin de préciser qu'il s'agit là d'un compliment tout ce qu'il y a d'admiratif ?Dadid a écrit :même si les voix des deux chanteuses auraient mérité un peu plus de présence je trouve, la "complainte de la vieille salope" est toujours bienvenue !
Le bougre s'en ramasse de sévères dans les gencives depuis hier ! S'il a effectivement molesté les saintes écritures "williamsiennes" avec la sanglante brutalité que tous déplorent, le jeter au fond d'un cachot tout juste meublé d'un peu de paille moisie serait un châtiment trop doux encore. Mon insondable magnanimité est néanmoins capable de concevoir que, pour tout musicien avide de strass clinquant et de gloriole facile, malmener son instrument de travail devant un parterre de spectateurs éberlués puisse représenter un aller simple en direction d'une postérité gibbeuse et diaboliquement tentante.Dadid a écrit :
La tête (enfin, je suppose) du trompettiste coupable!
Tarif Communauté Pleyel :
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