Le Yéti a écrit : Sa Symphony in G# Minor et puis Stone Cutters là, c'est absolument au-dessus de mes forces.
Je ne connais pas ces deux oeuvres.
Le Yéti a écrit :Par contre Othello, Green Bird, Juan Darien, tout ça j'aime beaucoup. Voire énormément pour Othello que j'ai sans doute écouté aussi souvent que mes scores préférés de Goldenthal.
Pareil, j'adore ces oeuvres, mais j'ignorais qu'il avait tiré une symphonie de son OTHELLO.
Ben dites donc, ça promet, j'ai Stone Cutters et Othello qui prennent la poussière depuis quelques mois, alors qu'ils semblent constituer deux faces musciales opposées. il va falloir y remédier !
Au nom assez rarement jeté sur le tapis de Plenizio, dont la notoriété toute relative s'embourba dans les bas quartiers de Cinecittà, me viennent toujours à l'esprit les deux mêmes partitions. Tout d'abord La Gatta in Calore, innervé par une élégance capable à elle seule d'écarter les allusions potentiellement grivoises de son titre, puis Django 2 : Il Grande Ritorno, foire aux synthés qui balaie d'une pichenette le funèbre héritage de Luis Bacalov. Requiescat in Pace, Gianfranco.
Ca doit bien faire deux ans qu'il m'arrive d'aller fureter de temps à autre sur cette page, où s'agglutinent d'hétéroclites morceaux justifiant, dans l'ensemble, le titre prometteur que s'est choisi notre Youtubeur mélomane. Tout ceci est bricolé avec les moyens du bord, parfois aux frontières de l'audible, mais l'entêtement du gaillard à défricher à grands moulinets de machette les sentiers broussailleux d'une béophilie alternative ne pouvait que lui attirer l'estime embuée d'émotion du vieux Van Cleef.
Je me suis abonné à cette chaîne depuis un moment. Et effectivement "Obscure..." porte bien son nom. On se demande même où il va piocher tout ça. Certains titres et films doivent être aux oubliettes depuis des lustres.
"Musiques de film" en couverture des Cahiers du Cinéma du mois de Mars :
Éditorial
Composer pour le cinéma par Stéphane Delorme
Événement
Musiques de film
Un monde en soi par Thierry Jousse
La musique au premier plan entretien avec Cliff Martinez – par Thierry Méranger
Mica Levi, Math and Meat par Cyril Béghin
Les images ne mentent pas entretien avec Ryuichi Sakamoto – par Nicholas Elliott
Musique paysage entretien avec David Wingo – par Joachim Lepastier
Hong Sang-soo et Jeong Yong-jin, en miroir par Vincent Malausa
Une voix à l’intérieur du film entretien avec Olivier Maguerit – par Florence Maillard
Une musique remarquable entretien avec Rob – par Laura Tuillier
Romantisme planant Jean-Benoît Dunckel – par Jean-Sébastien Chauvin
John Williams, compositeur d’émotions par Chloé Huvet
Moments musicaux
The Neon Demon (Nicolas Winding Refn / Cliff Martinez)
Ce sentiment de l’été (Mikhaël Hers / Tahiti Boy)
Carol (Todd Haynes / Carter Burwell)
Queen of Earth (Alex Ross Perry / Keegan DeWitt)
Brooklyn Village (Ira Sachs / Dickon Hinchliffe)
The Fits (Anna Rose Holmer / Danny Bensi & Saunder Jurriaans)
Bon, il n'y a pas de musique dans "Silence" ou alors tellement sous-mixée qu'on entendait que le silence et les grillons Japonais , à un moment j'ai entendu des basses profondes mais c'était les effets sonores de Logan qui passait dans la salle au dessus de la nôtre.
Est-ce que quelqu'un qui aurait des notions d'allemand pourrait m'aider à comprendre le texte suivant (surtout les phrases en gras) :
Für die Filmmusik wurde nach Vermittlung durch den Komponisten Robert Mellin (der 1965 die Musik zum Abenteuervierteiler Don Quijote von der Mancha geschrieben hatte) der tschechische Komponist Jan Hanuš verpflichtet, der, ob der umfangreichen Arbeit, Hilfe von seinem Kollegen Luboš Sluka in Anspruch nahm. Eingespielt wurde die Musik vom Filmorchester Praha (FISYO) mit ca. 45 Personen unter Mitwirkung eines gemischten Chores von Pavel Kühn. Allerdings waren die Sänger der deutschen Sprache nicht mächtig und mussten den umfangreichen Text des Piratenliedes Fünfzehn Mann auf des toten Mannes Kiste phonetisch lernen. Deshalb hatten sie große Probleme mit der Aussprache und es klingt undeutlich. So hört es sich am Anfang statt Fünfzehn Mann eher wie Siebzehn Mann an.
Herstellungsleiter Walter Ulbrich hielt die Musik für sehr gelungen, und obwohl Robert Mellin der Ansicht war, dass sie einmalig sei und nicht weiter zu verwenden, setzte er sie in Auszügen sowohl für die Nachfolgeproduktionen „Tom Sawyers und Huckleberry Finns Abenteuer“ (1968) als auch bei „Die Lederstrumpferzählungen“ (1969) ein.
Starfe a écrit :Est-ce que quelqu'un qui aurait des notions d'allemand pourrait m'aider à comprendre le texte suivant (surtout les phrases en gras) :
Il y a des mots que je ne comprends pas mais en gros ça dit que c’est le compositeur tchèque Jan Hanus qui fut retenu pour la musique. Ce dernier demanda de l’aide à Lubos Sluka au vu de l’important travail qui l’attendait. La musique est jouée par le Filmorchester Prague (l’ancêtre de City ?). Ça dit aussi que des chansons furent chantées phonétiquement car le chanteur ne connaissait pas l’allemand.
Et enfin que le producteur Walter Ulbrich aimait bien la musique et que, malgré l’avis contraire de Robert Mellin qui trouvait cette musique unique, a réutilisé des extraits de cette même musique dans ses productions suivantes.
Le label "Soundtrack Factory" a ressorti quelques titres l'année dernière avec la mention "24Bit Digitally Remastered".
Cela ne veut parfois pas dire grand chose mais comme les samples sonnent plutôt bien et que plusieurs de leurs nouveaux titres me font de l'oeil, quelqu'un aurait-il un retour à me donner sur la qualité sonore de ces éditions?