Michael Giacchino
Re: Michael Giacchino
Mais je l'aime bien, moi, Giacchino, simplement pas sur tous les films ! Désolé d'avoir fait cette petite relance "c'était (souvent) mieux avant", mais c'était surtout histoire de replacer ce nouveau score dans son contexte, sinon on ne sait pas de quoi on parle. Pas de bile de ma part, donc, du moins pas contre Giacchino.
Re: Michael Giacchino
C'est clair on ne lui demande pas d'être le nouveau John Williams.
Re: Michael Giacchino
Ben si, c'est un peu le cahier des charges quand il est embauché sur Jurassic World, Stars Wars, ou par JJ Abrams (vous avez vu comme ce gars a des trémolos dans la voix quand il parle de John Williams)...Scorebob a écrit :C'est clair on ne lui demande pas d'être le nouveau John Williams.
- Denshaotoko
- Omega Man
- Messages : 4769
- Inscription : mar. 1 sept. 2009 18:41
Re: Michael Giacchino
Là, je te suis totalement, et c'est là où on voit qu'on est très loin encore de Williams, dont chaque musique a toujours été un joyau, de la plus petite (Stanley & Iris, dont on attend toujours un expanded, si toutefois il restait de la musique inédite) à la plus majeure (citez la vôtre)! Chez Giacchino, il y a, selon moi, de très bons scores et des scores très moyens, composés en pilotage automatique ou avec des contraintes trop grandes. J'adore John Carter ou les Star Trek, ou encore Inside Out, je ne réécoute plus du tout Jurassic World ni, dans une certaine mesure, Tomorrowland (mais ce dernier, c'est surtout à cause de la qualité du son, très plate).Dadid a écrit : Mais je l'aime bien, moi, Giacchino, simplement pas sur tous les films !
Re: Michael Giacchino
Je suis le seul à attendre dans l'énorme "Hope" les choeurs scander ?
"HEEEEEERE HEEEEE IIIIIIIIS !!! DAAAAARTH VADEEEEEEERRR !!! DAAAAARTH VADEEEEEEERRR !!! HOOOOORRRAAAHHHHH HOOORRRRAAAAHHH !!!"
Vous me dites hein, si je suis à l'ouest total.
"HEEEEEERE HEEEEE IIIIIIIIS !!! DAAAAARTH VADEEEEEEERRR !!! DAAAAARTH VADEEEEEEERRR !!! HOOOOORRRAAAHHHHH HOOORRRRAAAAHHH !!!"
Vous me dites hein, si je suis à l'ouest total.
Re: Michael Giacchino
On savait que "Rogue One" était un pur produit marketé de façon à plaire au plus grand nombre mais alors là... jusqu'au bout du livret!
La vraie tracklist, décalée comme à son habitude, de Giacchino & de ses orchestrateurs, est reléguée en simple clin d'oeil dans le livret. Au cas où, elle aurait fait moins vendre le cd...
La vraie tracklist, décalée comme à son habitude, de Giacchino & de ses orchestrateurs, est reléguée en simple clin d'oeil dans le livret. Au cas où, elle aurait fait moins vendre le cd...
Re: Michael Giacchino
Bon Ben finalement non seulement ce préquel de Star Wars IV est meilleur que Star wars VII côté film mais en plus le score est bien troussé, ce n'est pas du plagiat Williamssien basique et c'est très bien ainsi.
Ça sonne comme du STAR WARS classique au niveau cordes et des instruments a vent tout en s'en démarquant de manière habile, les thèmes connus de la saga ,qui ne commence qu'après ROGUE ONE avec le IV, sont à peine esquissés jamais joués en intégralité (sauf la marche de l'empereur ) et je trouve cela pas bête du tout .
Une chose que j'ai beaucoup apprécié, l'apparition tardive des chœurs qui viennent souligner la fin héroïque et ô combien dramatique des évènements qui ont permis de donner à la Rébellion la clé de la destruction de L'Etoile Noire comme un témoin que l'on passe (en trépassant) à ceux qui triompheront de l'Empire malgré son écrasante supériorité; C'est au point que j'ai regretté que ROGUE ONE ne soit pas le point final de la saga STAR WARS comme une boucle vraiment bouclée ( en allés et retours ) avec un préquel astucieux qui met en valeur les "femmes les hommes et les robots de l'ombre" plutôt que la surenchère inutile du VII (pour moi remake bâtard et sans souffle du IV).
Ça sonne comme du STAR WARS classique au niveau cordes et des instruments a vent tout en s'en démarquant de manière habile, les thèmes connus de la saga ,qui ne commence qu'après ROGUE ONE avec le IV, sont à peine esquissés jamais joués en intégralité (sauf la marche de l'empereur ) et je trouve cela pas bête du tout
Une chose que j'ai beaucoup apprécié, l'apparition tardive des chœurs qui viennent souligner la fin héroïque et ô combien dramatique des évènements qui ont permis de donner à la Rébellion la clé de la destruction de L'Etoile Noire comme un témoin que l'on passe (en trépassant) à ceux qui triompheront de l'Empire malgré son écrasante supériorité; C'est au point que j'ai regretté que ROGUE ONE ne soit pas le point final de la saga STAR WARS comme une boucle vraiment bouclée ( en allés et retours ) avec un préquel astucieux qui met en valeur les "femmes les hommes et les robots de l'ombre" plutôt que la surenchère inutile du VII (pour moi remake bâtard et sans souffle du IV).
- Lee Van Cleef
- Inside Man
- Messages : 11548
- Inscription : ven. 28 nov. 2008 19:31
Re: Michael Giacchino
Vous souvenez-vous, gentlemen, comme la ténébreuse perspective que Zimmer ne prît Star Wars dans les filets de son chalutier-forteresse avait jeté nos esprits au fin fond des abysses de la dépression ? Les noms finalement annoncés de Desplat, puis de Giacchino, avaient tiré moult soupirs de soulagement, la seule absence du noir calife de Remote Control suffisant à gommer les réserves que l'on pouvait nourrir à l'encontre des deux gaillards suscités. Pourtant, nous avons bel et bien été floués. Car Rogue One, à l'arrivée, possède un génome moins "williamsien" que "zimmerien", comme il s'escrime à le prouver sur chacune (ou presque) de ses 70 minutes ventripotentes.
Non, non, le vieux Van Cleef ne travaille pas de la cagoule ! Evidemment, si l'on ne considère que la forme, mes assertions blasphématoires ne tiennent pas un seul instant debout. Giacchino n'a pas troqué son grand orchestre traditionnel contre des amas de samples gluants, et ses tics d'écriture, qui le distinguent sans mal des jean-foutre polluant le métier, sont pour la plupart en rang d'oignon. Mais le fond, à chercher carrément à l'autre extrémité du spectre, bouleverse sensiblement la donne. A l'instar du Zim' ou de n'importe lequel de ses soudards, Giacchino a enfilé son bleu de travail noirci de cambouis, a lacé ses lourdes chaussures de sécurité puis jeté sans ménagement ses cuivres dans la gueule tournante d'une bétonneuse. Rogue One pèse des tonnes. Des foutues tonnes ! Toute grâce est absente de cette partition hippopotamesque dont l'unique objectif, limpide, est de causer le plus grand hourvari symphonique possible. Causant ipso facto à Star Wars une crise d'aérophagie comme il n'en avait, musicalement parlant, jamais enduré.
Non, non, le vieux Van Cleef ne travaille pas de la cagoule ! Evidemment, si l'on ne considère que la forme, mes assertions blasphématoires ne tiennent pas un seul instant debout. Giacchino n'a pas troqué son grand orchestre traditionnel contre des amas de samples gluants, et ses tics d'écriture, qui le distinguent sans mal des jean-foutre polluant le métier, sont pour la plupart en rang d'oignon. Mais le fond, à chercher carrément à l'autre extrémité du spectre, bouleverse sensiblement la donne. A l'instar du Zim' ou de n'importe lequel de ses soudards, Giacchino a enfilé son bleu de travail noirci de cambouis, a lacé ses lourdes chaussures de sécurité puis jeté sans ménagement ses cuivres dans la gueule tournante d'une bétonneuse. Rogue One pèse des tonnes. Des foutues tonnes ! Toute grâce est absente de cette partition hippopotamesque dont l'unique objectif, limpide, est de causer le plus grand hourvari symphonique possible. Causant ipso facto à Star Wars une crise d'aérophagie comme il n'en avait, musicalement parlant, jamais enduré.
Re: Michael Giacchino
Étrange, Lee, étrange... tu parles du CD ? De morceaux précis ? La musique ne m'a pas donné ce sentiment dans le film, sans forcément m'emballer elle m'a semblé très réussie par moments et, sur l'ensemble, plutôt équilibrée comme du Williams, justement...
- Lee Van Cleef
- Inside Man
- Messages : 11548
- Inscription : ven. 28 nov. 2008 19:31
Re: Michael Giacchino
Pas vu le film, camarade. Je ne parlais que de l'album, qui m'a insupporté avec une violence à laquelle je ne m'étais franchement pas préparé. Giacchino, toute subtilité livrée aux orties, y bourrine d'une façon presque névrotique, et ce bon vieux Johnny n'est plus qu'un souvenir lointain, comme une photo engloutie sous tant de brouillard sépia qu'on n'y reconnait plus les traits pourtant familiers du visage immortalisé jadis.
Re: Michael Giacchino
C'est malin! Déjà que je n'étais pas trop chaud pour m'y plonger, maintenant me voilà gelé sur place par le vent galcial de ton katana!Lee Van Cleef a écrit :A l'instar du Zim' ou de n'importe lequel de ses soudards, Giacchino a enfilé son bleu de travail noirci de cambouis, a lacé ses lourdes chaussures de sécurité puis jeté sans ménagement ses cuivres dans la gueule tournante d'une bétonneuse. Rogue One pèse des tonnes. Des foutues tonnes ! Toute grâce est absente de cette partition hippopotamesque dont l'unique objectif, limpide, est de causer le plus grand hourvari symphonique possible. Causant ipso facto à Star Wars une crise d'aérophagie comme il n'en avait, musicalement parlant, jamais enduré.
Re: Michael Giacchino
Le vieux hibou décati exagère, il attendait du Williams et c'est du Giacchino pour ce qui s'avère un prologue très tardif.
Re: Michael Giacchino
Il exagère même totalement, à mon avis par pure malice et provoc' car il n'y a pas l'ombre de l'ami Hans dans ce ROGUE 1, je puis vous l'assurer !Scorebob a écrit :Le vieux hibou décati exagère, il attendait du Williams et c'est du Giacchino pour ce qui s'avère un prologue très tardif.
Ca sonne comme un joyeux mélange entre Williams et Giacchino, pour ma part, il n'y a absolument aucun problème avec le score, je ne vois même pas
pourquoi certains s'égosillent farouchement en répétant à tue-tête que le score est un gros bordel, c'est juste ce qu'il fallait pour ce genre de film !
Et j'ajoute que niveau composition, Giacchino enfonce tout ce qui se fait à l'heure actuelle sans problème !
- Mathilias
- Wrong Man
- Messages : 541
- Inscription : lun. 30 août 2010 02:21
- Localisation : Inside My Imagination
Re: Michael Giacchino
- C'est pas trop compliqué pour lui "d'exploser tout sur son passage" vu qu'il est balisé sur le sentier hollywoodien et vu ces dernières années l’extrême faiblesse des blockbuster(s) ricains (excepté STAR WARS & STAR TREK), élever le niveau en terme de composition n'a rien d'extraordinaire. J'attends d'avantage de Giacchino sur un film indépandant (à petit budget & pas contrôlé par un studio) ou sur des séries TV voir du documentaire, là on pourra voir se qu'il a réellement dans le ventre et j'espère qu'il n'enchainera pas à tours de bras ce que lui demandera l'industrie hollywoodienne car sinon son inspiration finira par se tarir et ce brave Giacchino en finira épuisé voir desséché. Enfin ce n'est que mon avis....Alien7 a écrit :Et j'ajoute que niveau composition, Giacchino enfonce tout ce qui se fait à l'heure actuelle sans problème !
- Lee Van Cleef
- Inside Man
- Messages : 11548
- Inscription : ven. 28 nov. 2008 19:31
Re: Michael Giacchino
Bien sûr que non, Bobby-Boy. Avec le nombre de scores "à la Big John" jalonnant sa carrière, depuis une tripotée de Medal of Honor (ses plus galvanisantes réussites en ce domaine) jusqu'à l'anodin Jurassic World, on était de longue date renseigné quant à ce que Giacchino pouvait faire ou ne pas faire. Certainement pas un miracle, ce que personne de ce côté-ci du système solaire n'est en mesure d'accomplir, de toute façon, mais quelque chose de très honnête, ça oui, avec suffisamment de bagout mélodique pour nous embarquer faire un petit tour dans les étoiles... E voilà-t-y pas que le gars Michou nous balance à la place une sorte de monstrueux kouglof à deux doigts d'écraser sous son poids une paire de tréteaux vermoulus, un truc au monolithisme tel qu'il donne l'impression (fausse, c'est entendu, mais néanmoins incoercible) que l'orchestre se compose en tout et pour tout d'une meute de cuivres congestionnés.Scorebob a écrit :Le vieux hibou décati exagère, il attendait du Williams et c'est du Giacchino
Rien à faire, Rogue One m'est insupportable ! Bon allez, les gars, je vous aime tous comme les fils que je n'ai jamais engendrés, mais je préfère retourner m'en payer une savoureuse tranche avec Justin Hurwitz et son pétillant La La Land.
- Le Yéti
- Bicentennial Man
- Messages : 1284
- Inscription : mer. 19 oct. 2011 15:33
- Localisation : Sheffield, Royaume-Uni
- Contact :
Re: Michael Giacchino
Le truc qui m'a vraiment agacé c'est que la musique de Giacchino sert de jingle : y'a une scène sur trois qui démarre avec Michel et son orchestre pour tenter de créer une cohésion et un rythme à ce sac d'os ambulant qu'est Rogue One. Du coup toutes les surprises sont spoilés par la musique que l'on découvre tour à tour TERRIFIANTE, MARTIALE, ou TERRIFIANTE encore.
Ça marche du tonnerre cela dit et faut dire qu'il m'a même mis la larme à l'œil sur "Your Father Would Have Been Proud" et "Hope" qui déchirent leur matriarcat.
Ça marche du tonnerre cela dit et faut dire qu'il m'a même mis la larme à l'œil sur "Your Father Would Have Been Proud" et "Hope" qui déchirent leur matriarcat.
Re: Michael Giacchino
Musique en écoute avec semble t-il 26mn en plus...
http://waltdisneystudiosawards.com/#/rogue-one/music
http://waltdisneystudiosawards.com/#/rogue-one/music
BRAINSTORM main title (James Horner)
http://www.youtube.com/watch?v=HMj_80T6cyg
Film composer great Elmer Bernstein (Magnificent Seven, To Kill A Mockingbird) once said to me, “The dirty little secret is that we’re not musicians – we’re dramatists.”(Michael E Levine)
http://www.youtube.com/watch?v=HMj_80T6cyg
Film composer great Elmer Bernstein (Magnificent Seven, To Kill A Mockingbird) once said to me, “The dirty little secret is that we’re not musicians – we’re dramatists.”(Michael E Levine)
-
- Man On Fire
- Messages : 4324
- Inscription : dim. 10 juil. 2011 19:56
- Contact :
Re: Michael Giacchino
Et quelles 26 minutes ! Si le FYC du Réveil de la Force n'apportait pas grand chose de plus par rapport à l'album officiel, ici au moins, on a la musique de la bataille finale, presque intégralement absente de l'album sorti vendredi... Et certains thèmes sont mieux développés !
- Denshaotoko
- Omega Man
- Messages : 4769
- Inscription : mar. 1 sept. 2009 18:41
Re: Michael Giacchino
Espérons qu'Intrada s'attaquera à des Expanded de ces 2 œuvres un jour ou l'autre…Nameless1138 a écrit :Et quelles 26 minutes ! Si le FYC du Réveil de la Force n'apportait pas grand chose de plus par rapport à l'album officiel, ici au moins, on a la musique de la bataille finale, presque intégralement absente de l'album sorti vendredi... Et certains thèmes sont mieux développés !
Re: Michael Giacchino
Sapristi, pour une fois je me retrouve un peu dans ce que Lee écrit ! J'ai aussi trouvé la musique assez bruyante et épuisante dans le film, et les meilleurs moments étaient ceux où elle se taisait ou s'apaisait (le départ d'Eadu, le final cataclysmique). Il y aura certainement de bonnes choses à décortiquer dans le CD, mais je regrette un peu Desplat...
- Lee Van Cleef
- Inside Man
- Messages : 11548
- Inscription : ven. 28 nov. 2008 19:31
Re: Michael Giacchino
Pour une fois seulement ? Sache, impertinent godelureau, que les uniques choses aptes à franchir le seuil de mes lèvres toutes cloquées sont une sagesse plénière et la vérité adornée de clinquants falbalas. Rien d'autre.Eitam a écrit :Sapristi, pour une fois je me retrouve un peu dans ce que Lee écrit !
Re: Michael Giacchino
Je n'en ai jamais douté ! J'étais donc surpris de constater que mes vues pour une fois n'étaient pas tant dans l'erreur, et que peut-être mes yeux se dessillaient ?Lee Van Cleef a écrit :Pour une fois seulement ? Sache, impertinent godelureau, que les uniques choses aptes à franchir le seuil de mes lèvres toutes cloquées sont une sagesse plénière et la vérité adornée de clinquants falbalas. Rien d'autre.
Pour autant, pour essayer de rester positif, je dirais (a contrario de mon opinion générale selon laquelle musicalement moins aurait été mieux) que si Giacchino devait vraiment utiliser des chœurs, il a très bien choisi la scène pour ce faire.
Re: Michael Giacchino
Cet opus Giacchinien divise, c'est le moins que l'on puisse dire. Pour ma part, tant dans le film qu'en dehors, j'ai été conquis. Giacchino s'acquitte sans peine d'un cahier des charges qui aura eu la peau du "trop sage" Desplat. Le film avait besoin de grandiloquence, et la musique lui délivre ce point sans sourciller avec un héritage Williamsien assumé. Comme le dit Alien7, Giacchino enfonce tout ce qui se fait récemment niveau écriture (et croyez moi, j'en ai écouté des trucs mal écrits voire pas écrits du tout).
Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru. (Pierre DAC)
- Le Yéti
- Bicentennial Man
- Messages : 1284
- Inscription : mer. 19 oct. 2011 15:33
- Localisation : Sheffield, Royaume-Uni
- Contact :
Re: Michael Giacchino
Je te conseille d'écouter Godzilla, Rise of the Guardians et Golden Compass si tu trouves Desplat trop sageSam Lowry a écrit :Giacchino s'acquitte sans peine d'un cahier des charges qui aura eu la peau du "trop sage" Desplat.
Re: Michael Giacchino
ou tout simplement le generique final très goldsmithien de Firewall (http://www.musicme.com/#/Alexandre-Desp ... html?ipg=2)Le Yéti a écrit :Je te conseille d'écouter Godzilla, Rise of the Guardians et Golden Compass si tu trouves Desplat trop sageSam Lowry a écrit :Giacchino s'acquitte sans peine d'un cahier des charges qui aura eu la peau du "trop sage" Desplat.